1. Les débuts


    Datte: 17/01/2021, Catégories: couple, inconnu, caférestau, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme init, confession, Auteur: Partenaire du couple, Source: Revebebe

    ... ce qui était beaucoup plus excitant. Nous nous dirigions vers un endroit discret d’un parc, et elle relevait la robe pour me montrer ses dessous, ou parfois sous ma suggestion, pour me révéler l’absence de dessous. Moi, je rêvais qu’un homme l’aperçoive ainsi à travers la haie qui devait la camoufler.
    
    Je me souviens qu’un soir j’avais obtenu qu’elle n’ait pas de soutien-gorge sous un chemisier un peu transparent qui laissait deviner l’aréole sombre de ses mamelons. Nous sommes allés au restaurant, et nos voisins, deux hommes, ne se gênaient pas pour la mater sans cesse. Je savais qu’elle était excitée. Je le voyais à ses yeux. Au milieu du repas, tous deux éméchés, je lui fis passer un petit message :
    
    — Donne-moi ton string.
    
    D’une audace folle, sous le regard muet de stupeur de nos voisins, elle fit glisser son string le long de ses cuisses pour me le tendre. Lorsqu’elle quitta la table pour aller aux toilettes, leurs regards étaient fixés sur ses cuisses que la courte jupe révélait très haut. Ils espéraient sans doute apercevoir son intimité. Et moi aussi !
    
    Après ce repas, je la suivis sur le trottoir peu éclairé d’une rue de Paris. Je lui suggérai de me montrer ses fesses. Elle souleva sa jupe, fit ainsi quelques pas en tortillant son popotin lascivement sans se rendre compte que dans une voiture garée tous feux éteints se tenait un conducteur à qui rien de cette scène surprenante n’échappait. Je me collai ensuite à elle, lui massant les fesses en relevant la ...
    ... jupe assez haut de telle sorte que l’homme puisse les contempler à la lumière des lampadaires. Des deux mains, j’écartai ses fesses qu’il puisse entrevoir sa chatte.
    
    De retour au domicile conjugal, je lui fis ensuite l’amour comme un fou, lui bouffant la chatte et le cul comme un damné, me barbouillant le visage contre sa fente, la prenant par derrière en pensant au spectacle offert au conducteur.
    
    Mon épouse me permettait de vivre un trouble excitant par procuration. Le trouble provoqué par la rencontre d’une femme à l’exhibition audacieuse. Elle m’offrait ainsi l’occasion d’être un voyeur comblé. L’audace me gagnait peu à peu.
    
    Dans un pavillon de vacances, j’avais repéré qu’un voisin se tenait parfois derrière une fenêtre pour regarder mon épouse dans son transat. Elle avait souvent les cuisses écartées, et j’imaginais qu’il devait se rincer l’œil. Un midi, au moment de la sieste, je parvins à convaincre mon épouse de la raser, sur la terrasse. Je plaçai la serviette dans l’axe du voyeur éventuel. Je ne savais pas s’il était là, mais imaginer qu’il pouvait contempler à loisirs le sexe de ma tendre aimée tandis que j’écartais ses lèvres me faisait bander.
    
    La danse fut le théâtre de quelques expériences. Les jupes courtes pour aller en club salsa devinrent habituelles, parfois sans culotte, et je la dévorais des yeux lorsqu’un danseur talentueux la faisait tourner en révélant ses jolies cuisses fuselées. Je tremblais de désir en attendant le bref instant où ses ...