1. Les débuts


    Datte: 17/01/2021, Catégories: couple, inconnu, caférestau, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, BDSM / Fétichisme init, confession, Auteur: Partenaire du couple, Source: Revebebe

    ... revivre tous ces instants. Tel un paparazzi j’inventais mille et un stratagèmes pour la coucher sur la pellicule photographique dans les situations les plus troublantes…
    
    Je passais ensuite des heures à agrandir, recadrer, mettre en album ces clichés si excitants qui me faisaient patienter en attendant des moments plus physiques, plus charnels.
    
    J’essayais, lorsqu’elle me semblait d’une humeur un peu coquine, de la faire poser pour moi.
    
    Quelques mois passèrent ainsi, parsemés de moments intenses, volés au temps assassin. Comme lorsqu’elle me permettait de débarrasser les lèvres de son sexe de toute pilosité, ne lui laissant qu’une petite touffe sur le pubis. Préparer les instruments me faisait déjà bander… Je commençais par couper le maximum aux ciseaux, écartant les lèvres roses, jouant avec le froid du métal en espérant l’exciter ce qui arrivait parfois, ce qui me donnait l’immense bonheur d’observer, de sentir ses sécrétions intimes.
    
    Une bave luisante et mousseuse suintait alors de l’orifice de son sexe trahissant l’émoi que j’avais pu faire naître. Étaler la mousse sur son sexe, avec application et délicatesse, puis, à l’aide d’un rasoir, faire place nette m’obligeait à lui écarter les cuisses dans une position dont l’indécence m’excitait, me rendait amoureux.
    
    Lorsque tout était fini, que je l’avais rincée et séchée, je lui léchais le sexe avec passion, lapant sa jute à grands coups de langue, aspirant ses lèvres gonflées de désir dans ma bouche, fouillant en ...
    ... même temps son sexe avec un ou deux doigts…
    
    J’avais réussi à collectionner un grand nombre de photos ou de films de mon épouse dans son bain ou sous la douche. La langueur qu’elle adoptait allongée dans la baignoire blanche qui mettait en valeur son teint hâlé me donnait envie de lui faire l’amour. Sa main qui glissait entre ses fesses, entre ses cuisses pour se laver était d’un érotisme torride. Je lui avais d’ailleurs demandé de la filmer en train de se masturber. Ce qu’elle fit d’une façon lascive, sensuelle…
    
    Quelques semaines plus tard, une autre expérience m’apprit que la révélation que j’avais eue au restaurant était le démarrage d’une transformation dans mon esprit.
    
    Nous étions chez des amis, à une de ces soirées où les femmes parlent de leurs enfants ou de leurs maisons, tandis que les hommes analysent le dernier match de foot, leur réussite professionnelle ou la dernière voiture acquise. Je m’emmerdais, cherchant à faire bonne figure, mais lassé de côtoyer ces couples matérialistes et éteints. Leurs épouses se laissaient aller, grasses des fesses et du ventre. Je surprenais parfois des regards de convoitise sur mon épouse au corps entretenu, aux courbes aguichantes et sensuelles. Les attitudes, le regard, les mots étaient souvent chargés de sous-entendus.
    
    Il m’était arrivé les années précédentes d’observer un homme dont la main se promenait un peu trop sur elle. Comme ce beau-frère qui, assis en face d’elle, avait palpé le tissu de sa jupe en glissant la ...
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