Carine a un nouveau collègue
Datte: 17/01/2021,
Catégories:
ff,
couple,
cocus,
Collègues / Travail
fépilée,
Oral
69,
init,
Auteur: Séraphin, Source: Revebebe
... je lui ai souri. Elle a remonté sa main sous ma jupe, jusqu’à ma chatte. Elle m’a caressée un peu, et puis j’ai enlevé sa main.
— Tu… tu as aimé ça ?
— C’était excitant, comme ça, dans un bar, à l’insu des clients… Tu aimerais que je gouine avec elle ?
— Je ne sais pas ; peut être… Toi, tu aimerais ?
— Je ne l’ai jamais fait.
— Si tu veux la voir, faites-le ici…
— D’accord.
Je n’en reviens pas. En deux minutes, notre vie bascule ! C’est elle qui a l’initiative maintenant. Nous continuons tranquillement notre repas. Carine me parle de son travail, de Patrick qui fait l’unanimité dans l’entreprise. Comme si de rien n’était. Les idées bouillonnent dans ma tête.
Nous nous couchons. Je l’observe discrètement. Elle ôte son chemisier, puis sa jupe. Elle est nue. Elle a passé la journée sans sous-vêtements !
Je caresse son corps doux. Quand je veux la prendre, elle pousse ma tête vers son pubis. Elle se tord de plaisir et jouit sous mes coups de langue. Je n’en aurai pas plus ce soir.
Je ne dors pas. Je la vois ici, dans notre lit, avec Éliane. Les scènes érotiques que mon imagination développe sont contrariées par la jalousie. Je ne peux la partager avec quelqu’un d’autre, serait-ce une femme. J’ai envie de la réveiller, de lui dire que je l’aime, que je la veux pour moi tout seul, que tout cela est terminé.
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Carine se refuse à moi depuis quelques jours. Je peux la faire jouir avec ma bouche, mes doigts, elle me soulage quand c’est ...
... nécessaire, mais nous ne faisons pas l’amour.
Texto reçu vers quatorze heures.
Mon cœur bat la chamade. Je ne sais que faire. Impossible de les surprendre, Carine ne me le pardonnerait pas. Il ne me reste plus qu’à attendre… et souffrir.
Dix-huit heures trente. J’attends discrètement au coin de l’épicerie. La porte s’ouvre, Éliane sort ; elles s’embrassent sur la joue, puis Éliane monte dans sa Peugeot et s’éloigne.
Voilà, c’est fini. Carine m’a trompé, et j’ai laissé faire. Quel imbécile ! Mon couple est sans doute fichu.
Quand je rentre, Carine est dans la chambre, en train de changer les draps. Je suis gêné ; elle me sourit. Nous dînons en silence. Quand elle se couche, elle se tourne vers moi.
— Tu ne veux pas savoir ?
— Savoir quoi ?
— Comment ça s’est passé ?
— Euh… si… si tu veux…
— Ne m’interromps pas, s’il te plaît, sinon je ne pourrai pas. Nous nous sommes embrassées. C’est étrange, le baiser d’une femme ; plus doux que celui d’un homme… Puis elle m’a déshabillée, elle s’est dévêtue elle-même. Elle est très mince, avec une petite poitrine et un sexe complètement épilé. J’étais très gênée, je ne savais que faire, comme si j’étais encore vierge.
Elle m’a entraînée vers le lit, nous nous sommes couchées. J’étais raide, crispée. Éliane m’a souri : « Détends-toi, petite pucelle… »
Elle m’a caressée partout avec une grande douceur, et m’a décontractée. Elle aime mes seins, autant que toi, et s’en est beaucoup occupée : elle en prenait un dans ses ...