1. La Patronne


    Datte: 17/01/2021, Catégories: fh, fplusag, fépilée, campagne, Oral pénétratio, init, Auteur: Mike peter, Source: Revebebe

    ... bat…
    
    Elle se retourna et s’appuya sur la clôture de la stalle, offrant sa croupe en guise de cadeau à ma fougue. Elle avait un cul d’enfer, des fesses légèrement bombées, d’une blancheur laiteuse, savoureuse. Je m’approchai derrière elle avec la fermeté de mes intentions. Je caressai d’une main le duvet soyeux de son fessier et je mis mon membre fébrile entre ses deux fesses.
    
    — Qu’attends-tu pour m’enfourcher, je te veux en moi tout de suite…
    
    Envieuse, elle agrippa mon membre d’une main, releva légèrement son croupion et s’empala tout de go, tout en se trémoussant le derrière. Qu’elle était chaude la patronne, brûlante d’excitation, humidement réceptive. Je me sentais au septième ciel en elle, savourant cet instant sublime d’une première pénétration, quelle sensation de pouvoir être enrobé de la sorte dans cette grotte de plaisirs.
    
    — Je te sens bien, elle est bonne, bien dure, vas-y, remplis -moi comme une truie…
    
    Je l’agrippai par la taille et je commençai à la besogner. Au début, je me retirais lentement comme pour savourer les délices de son intérieur et lorsque j’étais presque sorti d’elle, je l’enfonçais brusquement jusque dans les tréfonds de son intimité. Je la sentais réceptive à mes coups de boutoir, car elle gémissait son approbation.
    
    — Défais ma brassière, pogne mes grosses boules, mon petit vicieux !
    
    Comme j’avais rêvé de l’opulence de cette poitrine, sans hésitation et avec empressement, je libérai ses joyaux de leur étreinte. Ils étaient ...
    ... encore plus attrayants que je me l’étais imaginé, lourds, gonflés, généreux. Je les agrippai fermement de mes mains d’homme, les malaxai, les pétris. Je caressai ses tétons durcis par l’excitation.
    
    Je dominais la situation, elle était sous ma gouverne, esclave de mon emprise de mâle en rut.
    
    — J’aime ta queue, laboure-moi la chatte, plus vite, baise-moi fort…
    
    Elle en voulait la cochonne, impatiente de se faire pistonner comme une truie. J’accélérai la cadence à un rythme d’enfer, la défonçant de violents coups de boutoir, à la rendre folle d’excitation. Elle suivait la cadence, épousant mon va-et-vient incessant, elle râlait sa satisfaction, haletant sa jouissance impudiquement.
    
    — Oui, ouuuiii, tu me fais jouir, crache ton venin, remplis-moi de ton jus, baise-moi…
    
    Elle était entrée en transe, complètement dominée par des convulsions orgasmiques intenses. Je sentais monter en moi la sève de ma propre jouissance, heureux de pouvoir satisfaire les désirs de la patronne et de me libérer de mes ardeurs.
    
    J’explosai en elle dans un long grondement libérateur, ma semence chaude, suave et nourricière. Des décharges électriques tapissaient le fond de mon écran mental, j’atteignis le nirvana.
    
    Exténué, tout en sueur, je la libérai de mon étreinte copulatoire. Elle se retourna vers moi, son regard dégageait la plénitude, la satiété, la satisfaction. Elle prit mon membre semi rigide dans ses mains et en appliquant une légère pression, fit sortir quelques gouttes de sperme ...
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