Confidences de ma chef
Datte: 17/01/2021,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Lesbienne
Auteur: marika842010, Source: xHamster
... de le rendre si gros que parfois certaines gourgandines ne peuvent en aucun cas le prendre en entier… Partage ce pieu vivant, salive sur cette hampe, glisse-le entre tes lèvres, jusqu’à tu ne puisses plus l’enfoncer davantage… Prête-le à Irma, glisse-le dans sa bouche, aide-la à trouver le bon rythme, saliver de désir, commencer à s’ouvrir…
- Montre-lui le chemin, écarte ses longues cuisses, qu’elle monte sur moi, le sexe détrempé, assoiffée de connaître ce plaisir infini de se faire pénétrer… Oui…
Viens, glisse-le lentement, tu vois, c’est trop facile, je te sens si pressée…
- Maître, je sais bien… Je coule de désir, je vois ce membre passer de main en main, venir dans nos bouches, se faire désirer, sentir la verge grossir, le gland étinceler !
- Alors ouvre tes cuisses, je vais te pénétrer, viens à ma rencontre, ton sexe n’en peut plus, il coule comme un torrent… Oui !... J’ai senti ton fourreau l’abriter…
Tu glisses et revient, recommence à dessin, j’exulte ce plaisir, grogne cette extase, je suis en toi… M te prend dans ses bras, vous vivez des instants de partage, l’une berçant l’autre, l’autre se faisant perforer, prenant ce qu’elle redoutait, ce qui ne la faisait plus jouir, par peur de son pouvoir !...
- Maître, je ne sais que penser… Je vous sens dans mon ventre, j’ai envie de jouir, j’accélère mon mouvement, prenant à mon endroit, la direction de l’acte… Oui, cette fois je jouis, doucement, égoïstement, mon fourreau vous câline, vous fermez vos ...
... beaux yeux, grognant comme une bête, je pars dans un délire, une envie de connaître cette envolée lyrique qu’autrefois je lançais… Un râle strident, des commentaires vulgaires, mon moi qui s’effaçait, se lâchant sans complexe, et voilà, oui, venez, donne-moi votre foutre, vous pouvez vous lâcher, je ne suis plus fertile…
- Que c’est bon mon doux maître, vous m’avez retournée, et me prenez encore, comme une putain, et toi ma douce M tu viens réveiller cette partie de mon corps que je savais obscène…
Tu prépares l’assaut, le pire de mes souvenirs, cette crainte du mal que le mâle désire…
Oh, maître vous glissez lentement, M, ta main vient m’exciter, je m’ouvre des deux côtés, je deviens votre chose, prenez-moi tous les deux !
Maître, je jouis, vous me perforez, j’atteins le sommet, je vais tomber des nues, apprendre à me donner, devenir une femme, aimer la sodomie… M, tu me prends, tu m’emportes, je jouis aussi de toi, en même temps que maître m’envoie au paradis, je ne sens plus mon ventre, je ne sens plus mon sexe, je suis dans un brouillard, j’ai perdu connaissance, j’ai joui tant et plus, je suis morte d’avoir aimé…
Etendue entre nous, elle s’endort doucement, Romain n’a pas fini et vient auprès de moi et il écrit la fin de ces ébats de rêve, me portant à mon tour sur l’autel des délices…
Romain, je t’aime.
Tu nous as emportées, tu nous as fait l’amour par un jeu érotique, comme un forcené, nous avons apprécié, ta verdeur légendaire, mon sexe en pleure ...