1. Deuxième soirée avec Stef - Partie 3 (1)


    Datte: 01/05/2018, Catégories: Gay Auteur: sethypaulita, Source: Xstory

    ... Stef en l’expulsant hors de ma bouche. J’en profitais alors pour reposer ma mâchoire une seconde avant de la reprendre goulûment sur ma langue.
    
    Tout en suçant le gland de Stef, j’ai utilisé mon index pour faire remuer la petite bite de Johan qui restait dressée sur le côté. Johan m’a adressé un petit regard complice avant de confier à Stef qu’il avait envie de le sucer. Stef a répondu en souriant qu’il y avait de la place pour deux. Une seconde après, Johan m’avait rejoint et Stef avait rectifié sa position pour que sa grosse bite brillante soit dressée entre Johan et moi. Je l’ai aussitôt saisie pour la guider vers ma bouche. Johan en a profité pour se placer sur le côté et lécher les grosses couilles de Stef.
    
    Il lui a fallu deux ou trois minutes avant de se décider à en gober une. Lorsqu’il l’a relâchée, il ne l’a pas quittée des yeux et l’a regardée rebondir avant de la reprendre en bouche. C’était étrange de voir son visage innocent d’aussi près lécher ces grosses couilles avec autant de gourmandise. Au début, l’idée de partager Stef me déplaisait et suscitait en moi une certaine ...
    ... jalousie, mais je me rendais compte petit à petit que la situation en était d’autant plus érotique et cette fois, j’étais non seulement impatient de voir Stef éjaculer et m’enculer jusqu’à l’orgasme, mais j’étais également curieux de voir Johan se faire enculer et observer ses réactions pendant l’acte.
    
    Après quelques instants, Johan a arrêté de jouer avec les bourses de Stef pour poser la joue contre le haut de sa cuisse et observer en très gros plan les mouvements de ma bouche sur sa grosse bite. Ses yeux parcouraient son membre et croisaient mon regard de temps en temps, il affichait alors un petit sourire en coin et entrouvrait légèrement la bouche dans un réflexe d’envie lorsque son regard se posait sur ma bouche occupée à lécher goulûment le gros gland de Stef. La complicité avait été automatique entre nous, on n’avait plus rien à cacher et on pouvait librement exprimer notre désir de satisfaire ce dieu du sexe. On était tous les deux à genoux, assis sur nos talons, en train de bander dur face à cette bite magnifique. Je n’avais pas honte de ma soumission, car lui aussi la partageait. 
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