1. La piscine


    Datte: 17/01/2021, Catégories: hh, couleurs, piscine, sport, intermast, facial, Oral hdanus, Auteur: Olivier, Source: Revebebe

    ... doigt dans mon fion.
    
    — Mets-en un autre, je t’en prie.
    
    Il en met un deuxième, et après quelques secondes, un troisième. Il me laboure maintenant le cul avec ses gros doigts qui me remplissent. Je n’en peux plus. Il retire ses doigts, se lève et vient se frotter contre moi. Je sens son sexe dur coulisser entre mes fesses.
    
    — Tu sens comme je bande pour ton cul ?
    — Oui…
    
    Il me prend dans ses bras, me caresse les tétons pendant qu’il se branle contre mes fesses. Il continue un moment à se frotter, moment hyper excitant et tellement frustrant car je voudrais le sentir en moi, son gland accrochant de temps en temps mon anus. J’ai mes deux mains autour de son cou, cambré pour bien lui ouvrir mes fesses. Il me mord l’oreille, me dit qu’il voudrait entrer, que mon cul va le faire jouir. Je n’en peux plus ; je prends sa queue et pose son gland sur mon anus, me recule pour faire entrer son gland qui entre dans mon intimité sans trop de souci. Je sens son énorme sexe qui est arrêté par mes sphincters, je le veux.
    
    — Non, me dit-il doucement à l’oreille, pas sans capote.
    — Je veux que tu jouisses dans ma bouche, alors.
    — Oui : je veux me vider sur ...
    ... ta langue.
    
    Je me retourne, m’agenouille et le branle, le suce, le suppliant du regard de me remplir la bouche avec son sperme. Je sors ma langue et astique le plus vite possible ce chibre qui tressaute ; et le sperme sort enfin ! Je recueille tout le nectar sur ma langue, engloutis sa queue qui lâche encore les dernières gouttes. Je le regarde : il a la main devant la bouche pour ne pas faire de bruit. Une fois tout son foutre sorti, il me regarde, sourit et me relève doucement, s’assoit sur le banc et reprend ma bite dans sa bouche. Il me suce doucement, lentement, et je sens mon orgasme monter dans le creux des reins. Il me met un doigt et fouille mon trou, appuyant sur ma prostate ; je ne tiens pas longtemps et jouis longuement dans sa bouche, évitant de crier. J’ai les jambes qui ne me tiennent pratiquement plus ; je n’ai pas autant joui depuis des années ! Il sort un mouchoir, recrache mon sperme dedans, me sourit. Je remets mon maillot, j’ouvre la cabine : personne. Je sors reprendre une douche.
    
    Je le vois partir ; il me regarde et vient me dire qu’il va sûrement revenir les mardis midi, et que la prochaine fois il aura tout ce qu’il faut. 
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