Séduction délicate de la soeur de ma mère (28)
Datte: 17/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Bruce75, Source: Xstory
... le canapé pour y poser sa jolie frimousse sur mes genoux.
En réalité et connaissant par coeur ma tante, elle creuvait d’envie de me sucer. Durant tout le temps de notre conversation, elle n’avait fait que de me caresser pour ensuite me branler et n’avait qu’une idée dans la tête. Mais une fois de plus, elle s’était fourrée dans le crâne une culpabilité devenue de plus en plus aléatoire au gré du temps. Issue, comme moi par ailleurs, d’un milieu bourgeois, elle ne concevait pas de prendre l’initiative et il lui avait fallu en quelque sorte mon aval pour se coucher sur moi.
Véro ne traîna pas et en passant ma main sur ses cuisses, je vis son doux visage s’abaisser lentement sur ma grande verge, laquelle ne se fit pas prier au contact de ses lèvres charmeuses. Elle s’amusa durant un instant à téter mon gland, encore recouvert de sa protection, ledit prépuce.
Puis mon chef d’oeuvre personnel arriva enfin.
Elle ouvrit la bouche en silence, laquelle descendit progressivement, puis elle dégusta délicatement l’entrée de mon grand sexe dans son palais, avec ses lèvres faisant office d’escorte de luxe pour cet intrus.
J’étais dans un état second en ressentant ma verge s’imprégner de la chaleur intime de sa bouche, tout en observant le plaisir qu’elle prenait à le faire.
Voir ma tante me sucer me ramenait à mon adolescence, à mon ultime fantasme. Certes nous étions en couple depuis deux années et au fond j’étais dans le même état d’esprit qui l’habitait. Je n’arrivais ...
... toujours pas à réaliser l’impensable de notre relation. Sans m’en rendre compte, j’avais été au début un alpiniste amateur se trouvant au bas de l’Everest. En pur amateur, il se serait posé la question, comment vais-je y parvenir ou plutôt, oserais-je draguer la soeur de ma mère ? Etant parvenu à mes fins, j’avais crié ma victoire, hurlé en silence. Normalement, j’aurais du en rester là, me contenter de la baiser durant un mois, voire deux tout au plus.
Un facteur jusque là inconnu avait fait son apparition, l’ivresse de l’altitude, ou tout simplement l’ivresse de poursuivre notre relation intime.
Je mesurai dans cet instant précis, le chemin parcouru avec ma quadra, laquelle me considérait comme son mari.
Je marchais sur la tête sans aucun doute, mais je n’en avais cure. J’étais tout bonnement heureux et je flottais dans la béatitude.
Ma tante se délectait de m’avoir en bouche, me sucant sans relache depuis près d’une dizaine de minutes. Elle attrapait ma verge luisante pour l’engloutir entre ses lèvres, puis la libérait pour la sucoter. Sa tête était dorénavant posée sur mes genoux, faisant office de coussin.
Par moment, elle passait sa main sur le bas de mon torse, puis tel un bébé, elle reprenait sa tétée avec ses belles lèvres épousant mon gland à merveille. J’avais ma main dans ses mèches et je lui massais le cuir chevelu, lui faisant savoir de par ce geste, le bien-être qu’elle m’apportait. Lentement, elle absorbait son visiteur, lui laissant le soin de ...