Le Resort (9)
Datte: 17/01/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: simson3, Source: Xstory
... interagit à travers moi. »
Semblant pétrifiée par cette révélation, elle demeura muette.
« Donc, quand tu me parles, c’est comme si tu parlais à simson3. Et il te répond à travers moi. »
Elle s’approcha lentement de moi, toujours nue. En se penchant, elle saisit ma tête, joua dans mes cheveux, me caressa les joues. Ses mains étaient maintenant glacées de surprise.
« Je parle présentement à l’auteur de mes aventures, celui qui m’a créée ! Non, non, je rêve ! J’hallucine, pincez-moi, que je me réveille ! »
Je restai assis sur le lit, face à ce beau corps toujours debout qu’une chair de poule couvrait maintenant entièrement. Mes mains se portèrent sur ses petits seins qui pointaient déjà. Mes doigts descendirent sur ses fesses fraîches et rendues légèrement rugueuses par sa réaction de surprise. Enfouies dans sa raie où s’était réfugiée sa chaleur, mes mains écartèrent légèrement ses foufounes et j’introduisis un majeur dans son anus chaud et bien lubrifié que je me mis à masser doucement. Ses yeux se fermèrent. Elle soupira profondément. Son visage se détendit complètement, la tête levée vers le plafond.
Sa chair de poule la quitta. Je sentis ses jambes ramollir. Avec mon aide, elle s’étendit sur le lit, légèrement de côté. Sentant toujours l’agréable stimulation provoquée par mon doigt qui s’affairait en elle, elle laissa sa bouche être enveloppée par la mienne et, m’enlaçant de ses bras, les yeux toujours clos, s’abandonna à moi, corps et âme.
Nos bouches ...
... se séparèrent au bout d’une minute durant laquelle nos langues s’étaient nouées.
« Appelle-moi Simon, tout simplement.
— Simon, Simon, prends-moi. Prends-moi, je te prie.»
Je l’embrassai dans le cou, puis sur les épaules. Je l’entendais soupirer et commencer à gémir sous mes caresses. Mon doigt fut retiré de son anus qui vibrait encore de bonheur. Mes lèvres atteignirent les seins, puis le mamelon gauche de Sophie, ce petit nichon que sa mère avait presque avalé lors de sa confession au sujet de la maladie de son père. Elle recommença à me jouer dans les cheveux.
Maintenant sur le dos, elle avait légèrement levé les genoux, exposant sa chaude minoune dénudée et maintenant dégoulinante de mouille. Sentant que le moment approchait, elle se ressaisit rapidement et me déculotta jusqu’à mi-jambe, ses bras ne pouvant aller plus loin. Ma queue maintenant libérée acheva de prendre toute son expansion.
Le ventre de Sophie se levait et s’abaissait, tel un soufflet attisant les braises d’un foyer, au rythme de sa respiration. Ses gémissements progressaient en crescendo. Ma langue chatouilla son petit nombril, puis prit le chemin de sa féminité. Des doigts fébriles s’affairaient à ébouriffer mes cheveux. J’en sentis leurs ongles lorsque mes lèvres commencèrent à effleurer son bouton d’amour, noyé dans la cyprine. La tête de Sophie se mit à hocher à droite, puis à gauche. Ma langue pratiqua un premier long mouvement de léchage sur son clito que je sentis durcir et grossir. ...