1. Sylvain… Ou Sylvie ? 2 - Au téléphone (Fiction)


    Datte: 16/01/2021, Catégories: Anal Gay Première fois Auteur: Pascmich, Source: xHamster

    ... nous
    
    • Mais toi, tu me manques ! Dormir avec ma sœur n’est pas pareil.
    
    • Je suppose que tu fais allusions aux petits câlins ?
    
    • Non, gros béta ! C’est tes ronflements qui me manquent ! Ironise-t-elle.
    
    Entendant mes rires, elle rajoute aussitôt :
    
    • Bien sûr que c’est aux câlins coquins que je pense quand je me couche… Mais t’es pas là… Et quand je bouge, je sens la nuisette de ma frangine !
    
    Je lui réponds alors, toujours sur le ton de la plaisanterie
    
    • Je prendrais bien sa place si je pouvais, pour être avec toi
    
    J’imagine alors le tableau, moi, en nuisette, dans les bras de Nadine sans pour autant oser lui avouer. Mais c’est elle qui surenchéri aussitôt.
    
    • Je passerais mes mains sous la nuisette… Tu saurais ce que ça fait… ça te plairait, je t’assure.
    
    C’est fait, je suis troublé. Je ne sais pas si elle pense vraiment ce qu’elle vient de dire ni même si c’est une proposition de scénario futur. Pas question de lui faire savoir que je connais la sensation qu’un tel vêtement a déjà pu me procurer. Je me contente d’entrer dans son jeu.
    
    • Et tu crois que je te laisserais me baisser la culotte aussi facilement !
    
    Je l’entends rire à son tour:
    
    • Parce que tu crois pouvoir me résister ? Attention que je ne te le fasse pas faire quand je rentrerai… Et qui sait, tu prendrais peut-être goût à ton tour de te mettre en dentelle pour moi.
    
    Avec affront, mais surtout bien décidé à profiter de l’occasion quand ce sera le cas, j’ai le culot de surenchérir ...
    ... :
    
    • Méfies toi que je ne te le rappelle pas et que je relève le défi ! Effacer Sylvain… Devenir une Sylvie ! Te piquer tes fringues !!!
    
    • Chiche ! Tu verras ce que c’est que d’avoir les fesses à l’air, de devoir aussi s’épiler
    
    • Tu crois que ça me fait peur ?
    
    • Je sens qu’on va bien s’amuser à mon retour, on verra si tu joues encore au malin ensuite.
    
    • Si les femmes le font, c’est qu’elles aiment ça ; nous, les hommes, n’y avons pas droit.
    
    • Tu vas savoir ce que c’est que d’écarter les cuisses, sentir ta chair se déchirer parfois quand on décide de te pénétrer sans que tu sois prête… Alors, Sylvie… Toujours partante ?
    
    Oh que oui, je le suis ! Mais n’ose pas le confirmer, pas encore ! S’en suit une joute verbale pendant laquelle je la laisse imaginer ce que pourrait être une telle soirée, à laquelle elle participe de son coté en me donnant les détails des scènes qu’elle imagine. Son vocabulaire se veut alors plus orienté. Je serai sa petite tapette, rien qu’à elle, j’aurai à la servir, devrai m’occuper de l’appartement. Elle m’entraine dans son délire, m’annonçant avec certitude que je serai « heureuse » de laisser ressortir mon côté féminin. Je la soupçonne à se caresser au son que fait sa respiration, à l’intonation de ses propos. Je glisse alors virtuellement dans la peau de sa soumise, feignant m’amuser quand je suis, en réalité, bien plus femelle qu’elle ne puisse l’imaginer encore.
    
    Cette discussion reste toutefois sous le ton du jeu sans qu’aucun ...