1. Des vacances et des épreuves (5)


    Datte: 15/01/2021, Catégories: Gay Auteur: pascaline46, Source: Xstory

    ... savoir-faire. J’étais toute chamboulée et ne parvenais plus à rassembler mes pensées tellement que les sensations érotiques de ces habits m’envahirent complètement. Fébrilement, je me mis debout, maladroite et fragile sur mes talons, je fis quelques pas devant lui qui me tenais la main, sentis le frottement de mes jambes gainées, l’une contre l’autre, m’inondant de plaisir. Ma démarche se fit plus sûre, ma joie plus visible. David n’eut aucun mal à deviner mon excitation réelle en baissant mon string afin que ma verge raide dure puisse exprimer toute ma personnalité, ma nouvelle identité.
    
    En l’espace d’un instant, nimbée de ces atours typiquement féminins, je sus qui j’étais réellement et me rappelai les paroles de Catherine la travestie résonner en moi. Les tétons de mes seins se durcirent, mon émoi se transforma en quelques mots : « David, prends-moi, prends-moi tout de suite chéri… »
    
    Je me penchai sur le dossier du sofa, tendis ma croupe en chaleur à mon amant : « Viens me baiser, vite, vite, j’en peux plus ! ».
    
    David se posta derrière moi, je sentis sa langue humide me lécher ma petite rondelle d’amour puis son phallus se présenta à l’entrée de ma rosette. Un éclair de chaleur mêlé d’une douleur fulgurante transpercèrent mon anus à peine dilaté, un cri violent s’échappa de moi pour laisser ...
    ... place à une vague de silence remplit de bonheur. Sa matraque phallique de Mâle actif me déchira les entrailles de lopette que j’étais. Je me sentis partir dans une contrée magique, mes pieds ne touchaient plus terre, David m’ayant pris par les hanches et par le cul, me défonça sauvagement durant ce que j’estimais être une éternité de plaisir anal. Je ne m’étais même pas rendu compte que j’avais éjaculé lorsqu’il me démontait encore la rondelle, mon sperme étalé sur le dossier du sofa, et je bandais encore, encore et encore il m’enculait avec ferveur et passion jusqu’à l’ultime jouissance de mon amant qui inonda mon puits d’amour de sa semence masculine en des râles bestiaux tout léonins. Son pieu divin resta en moi, lui s’affalant sur moi, sa sueur, ses muscles sur ma peau laiteuse, mes seins frottant encore sur le daim du sofa, mon sperme dégoulinant sur mes jambes gainées, ma queue encore raide, il me susurra à l’oreille : « Pascaline, tu es la meilleure lopette que j’ai jamais baisée.
    
    Tu vas devenir ma femme, ma muse, ma salope. Je ferai de toi ce que tu n’avais jamais osé t’avouer. Tu seras mienne ».
    
    Sans plus aucune réflexion je lui répondis : « Oui. Je suis à toi et ferai tout pour te rendre heureux. Maintenant je sais qui je suis et pour qui la lopette que je suis doit vivre".
    
    À suivre 
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