De femme du monde à salope de chienne (3)
Datte: 14/01/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: portois1954, Source: Xstory
... comme pour gober mon doigt. Je la pénétrais doucement et je ressentis foule de contractions autour de mon majeur. Son cul mouillait tout autant que sa chatte. Excité par ces sensations, je lui bloquais la nuque et en me soulevant un peu sur la pointe des pieds, je violais sa bouche, lui faisant avoir un mouvement de recul par l’inconfort provoqué. Elle m’excitait et je voulais le lui démontrer.
Me tenant par la queue, elle m’amena dans son salon aménagé pour l’occasion d’un matelas à même le sol, nid douillet et confortable, qui allait devenir un lieu incontournable de nos joutes amoureuses jusqu’aujourd’hui. Une table basse et un canapé complétaient le décor, absolument utile pour se positionner en levrette et pour recevoir tous les jouets et autres choses qui nous serviraient à mieux élaborer et réaliser la conquête de nos corps et des orifices dont ils sont dotés.
Nos physiques de seniors bons vivants font que nous préférons toujours la position en levrette et comme mon intention était de l’enculer directement avant toute autre pénétration ce soir là, je la commandais de se positionner à quatre pattes. D’instinct, elle écartait ses cuisses pour que je me positionne entre elles. Superbe vision de son œillet froncé quand je lui écarte les fesses. J’adore voir son anus se contracter et se dilater comme s’il était doté d’une vive énergie qui invite à sa prospection. Gourmande gémit quand mon gland qui vient au contact de son trou la rend fébrile. Je fais durer son ...
... impatience un moment pour qu’elle soit encore plus réceptive au moment où je l’enculerai d’un coup jusqu’à coller mon pubis contre ses fesses investies. Pur bonheur que de voir mon mandrin s’enfoncer en elle sans qu’elle émette une plainte, sans qu’elle ne se lasse que je la défonce agrippé à ses hanches.
Durée du plaisir, incitation vocale, caresse de son clitoris, de son dos, de ses fesses, frissons et enfin cris de délivrance et multi-contractions de ma bite fichée dans son fondement pour autant de giclées de foutre déversées en elle. Puis rester là un moment, profiter de la douce texture de nos foutres mélangés avant que de sortir de son cul, à regret. Et plus le temps passait, plus nos jeux érotiques prenaient consistance avec comme fil rouge nos appels téléphoniques quand au fin fond de la nuit, nous évoquions d’autres baises, d’autres envies, d’autres possibilités de faire. La chatte de gourmande, son cul, ses seins, son corps étaient aptes à de belles choses et de fil en aiguille, au plus fort de nos jouissifs échanges téléphoniques, je lui faisais état que je rêvais de beaux jouets pour ses orifices. Nous évoquions alors des godemichets, des vibromasseurs, des plugs et nous en fîmes l’acquisition d’une belle collection.
D’ailleurs, c’est Gourmande qui fit, seule, la première démarche d’achat d’un beau godemichet vibrant dans un sex-shop de province. Mais vraiment, à la longue, j’estimais que c’était insuffisant pour la combler comme il se doit. Moi je l’imaginais ...