Découverte du plaisir avec ma mère (6)
Datte: 14/01/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: michelxl, Source: Xstory
... le haut passa au-dessus de ma tête. Dès qu’il fut sur le sol, nous nous embrassâmes à nouveau.
Puis lentement, mes mains se tournèrent vers ses hanches fermes. J’attrapai, à mon tour son haut et le soulevai lentement. Notre baiser fut encore cassé, et j’enlevai son top et le jetai sur le sol. Je regardai ma sœur, assise sur mes genoux, nos peaux touchantes. Sa peau de grande pâleur, comme la mienne, sur ce fond blanc sa poitrine sembla encore plus vive. Des seins en pomme d’amour comme j’aime, ils semblèrent prendre plaisir à s’accrocher à ces courbes sublimes. On reprit nos baisers passionnés, et elle commença à appuyer son entrejambe contre le mien. Elle prit position entre mes jambes.
Après quelques minutes, je l’arrêtai et chassai ma sœur de moi. Elle eut l’air confuse pendant un moment, mais quand elle vit le sourire du désir sur mon visage, la luxure la rattrapa. Je la levai devant moi et tendai l’élastique de son shorty autour de sa taille. J’accrochai mes doigts et tirai vers le bas, Marie m’aidant de son mieux. Sous mon regard, elle se tortilla un peu et rougissait, embarrassée. Dans un mouvement fluide, je laissai tomber le shorty au sol, je regardai, son sexe rasé et tout lisse, émerveillé.
Je dus admettre que je fus plus détendu que je ne le pensai et que je ressentai une véritable affection pour Marie et ne voulut point qu’elle quitta sa place non plus. Alors, je tendis un bras autour d’elle et la tins près de moi, me délectant de sa simple présence. ...
... Mais ce fut plus que sa présence ; plus que de l’affection. Ce fut plus spécial que ça.
Ma queue atteignit sa dureté totale ; serpentant sur toute sa longueur entre sa cuisse gauche et le bas des jambes de Marie. Je sus qu’elle pu la sentir ; il n’y eut aucune raison qu’elle ne le puisse pas. Je fus tellement submergé par le sentiment de proximité et d’attachement que je n’eus jamais atteint avec Marie auparavant, je surfai sur un vaste lac d’affection que je sentis bercer pour ma sœur.
Marie soupira de contentement, ses yeux toujours fermés. Je serrai légèrement son bras, voulant lui donner d’une façon ou d’une autre un mécanisme moins dérisoire que des mots qu’elle aima entendre.
Marie lui en donna l’opportunité en ouvrant les yeux et en retirant son visage de son cou, une main toujours virevoltante dans ses cheveux. Nos yeux se fermèrent, nos nez à quelques centimètres.
Nous nous embrassement de nouveau. Je fus perdu dans un nuage d’amour ; je sentis comme s’il y eut un petit échange d’énergie ou quelque chose entre nous. Partout où sa peau rencontra ma peau, elle sembla picoter d’énergie. Elle du ressentir la même chose en déplaçant sa main, de ma taille vers mon dos ; sa paume rencontra mon ventre nu, et le moindre gémissement s’échappa de sa boîte vocale, avec un frisson d’accompagnement.
Finalement, on se sépara avec un bruit d’aspiration humide et un halètement. On resta immobile pendant un moment, se contentant juste à respirer à travers la brume de la ...