Lumière et Obscurité (3) - Histoires de Sexe

Lumière et Obscurité (3)

... Définitivement son approche de prédilection. On étaient maintenant tous les deux à s'embrasser debout en sous-vêtements dans la pièce. Danièle qui ne portait pas de brassière depuis le début. Collant sa poitrine molle aux pointes érigée sur mon torse. Très habile avec sa langue et ses mains. Le feu était maintenant embrasé...

Danièle - Revenons à la cuisine...J'ai envie de me faire lécher la chatte...

Laissant tomber sa petite culotte imbibé de cyprine sur le sol. Assise sur le comptoir avec les cuisses bien ouvertes. Léchant sa vulve humides aux pubis négligés. Ses lèvres vaginales grisâtres particulièrement molles et longues. Dégustant son clitoris érigé comme une sucette glacée. Après quelques gémissements et ses mains fortement appuyées sur ma tête. Elle était maintenant prête à se faire entreprendre. La position du 69 véritablement entamée dans sa chambre. Pour ensuite me repositionner dans la position de la levrette. Et entendre Danièle s'exprimer de vocalises très soutenues. Sa chatte baignant de mouille éclaboussant la couverture du lit. Des sons de pénétrations mouillées résonnant dans toute la pièce. Baisant la madame dans la position du missionnaire d'un rythme intense. Elle jouissait à gorge éployée en m'indiquant de ne surtout pas arrêter. Mes vas et vient pelvien ...

... percutant son vagin d'une vive cadence. Grafignant mon dos et mes fesses sous la ferveur de mes mouvements. Son odeur de femme délaissé se propageant dans tout l'endroit. Pénétrant la madame comme un guerrier revenu conquérant...

Danièle - Ouiiiiiiiiiii...Ouiiiiiiiiiiii...Fourre...Fourre...Fourre...

Sommeillant au côté de la dame souillée de mes semences. La madame me réveillant un peu plus tard en m'indiquant de partir. Car son mari allait revenir tôt au matin. Les messages textes devenant alors notre moyen de communication. Délaissant un peu ma logeuse Andrée puis sa nièce. Je pouvais baiser Danièle à de nombreuses reprises sans véritablement m'en lasser. Elle qui ne demandait qu'à être fourrée sans retenue. À chaque fois que les occasions se présentaient. Invitant même une jeune femme de son quartier à participer à nos ébats. Célibataire de race noire avec les yeux cachés d'un foulard. Un peu rondelette, sympathique et souriante. Danièle qui voulait seulement nous regarder baiser comme des bêtes. Avec un café alcoolisé à la main. Fourrant cette femme de 32 ans 7 ans plus vieille que moi. Réalisant que Danièle me visualisait étant son mari lui faisant réellement l'amour. Caressant sa vulve totalement mouillée de cyprine nous reluquant. La bouche ouverte haletante de soupirs et de frissons.