L'invasion Ch. 13
Datte: 30/04/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica
... les deux et mon corps se tend, les tendons de mes bras et de mes jambes se trouvent tirés trop fort, je hurle, c'est une torture.
β S'il vous plait, pleuré-je. Arrêtez, j'ai trop mal.
β Tais-toi, viens me dire Ayesha en se penchant au-dessus de moi, tu dois être parfait pour moi.
Pour marquer le coup, elle gifle encore mon sexe, les douleurs sont différentes et partout. Pendant qu'on m'écartèle, on me frappe le sexe. Je n'en peux plus, je ne pense même plus à la situation humiliante d'exposition, je hurle, sans arrêt.
Et puis, il y a une accalmie. Je suis laissé pantelant tenu par les mains puissantes. Pendant un moment seulement et Ayesha continue de frapper mon sexe.
β Tu vas voir ce qu'est la discipline, me dit-elle. Tu as cru connaitre cela il y a quelques jours, ce n'était rien.
Elle frappe et frappe encore.
β Et tu osais te masturber, commettre un tel crime sous ma surveillance.
β On reprend, dit Sadia.
Elles tirent à nouveau sur mes membres. Je croyais que c'était le maximum, mais j'avais tort, elles tirent encore plus fort. Je hurle, je supplie, je pleure, rien n'y fait, ces femmes cruelles continuent leur torture.
Encore un repos, elles tirent trois minutes, me laissent reposer trois minutes, mais Ayesha continue ses gifles sur mon sexe, elle frappe des deux mains alternativement. Au bout d'une bonne dizaine d'élongations, enfin, je me sens déposé sur le sol. Je me mets en boule et sanglote sans arrêt. Aucune pitié, Sadia me prend et me ...
... place assis sur le sol.
β Laisse-toi faire, ordonne-t-elle. Il faut que tu saches faire le grand écart.
Elle place alors mes deux plantes de pied l'une contre l'autre, et appuie sur mes genoux pour les poser le plus près du sol. Encore la douleur fulgurante. Mais c'est comme un autre ligament. Je hurle encore. Je veux reculer, mais on me retient par derrière. Sadia pousse très fort, atteint presque le sol et me maintient ainsi.
Une bonne dizaine de fois. Alors, elle essaie le grand écart frontal puis latéral.
β Il y a encore du travail, il est souple, mais pas au point que tu veux, Ayesha.
β Combien de temps te faut-il?
β Je peux venir tous les jours.
β Merci. Je vais le mettre à la discipline intensive. Ton service en fera partie.
β Oh, si tu veux, je peux passer la journée, et je lui fais faire ses exercices plusieurs fois par jour, ce sera très dur, mais il aura des résultats rapides.
β C'est très gentil, tu as entendu Arno? Remercie Sadia.
β Merci Sadia, parviens-je à balbutier.
On me prend encore par les chevilles pour me porter.
β Dès demain, nous commençons sérieusement, me dit Ayesha. Tu sauras quelle sera ta vie avec nous si tu n'es pas sage et obéissant.
β Pitié, Ayesha, je n'ai rien fait de mal.
β C'est de l'éducation, Arno, je veux que tu saches ce qu'il en est de vivre avec nous.
β Mais j'aime vivre avec vous, je ne veux que ça, mais il ne faut pas me faire mal.
Je continue de pleurer. Quelle gageure! Ainsi tenu par ...