1. L'invasion Ch. 13


    Datte: 30/04/2018, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: byOmegaNu, Source: Literotica

    ... tient à ses côtés et regarde.
    
    Cela doit durer une heure, alors on me détache.
    
    — Pompages, m'ordonne tout de suite Sadia.
    
    Je pleure, je ne parviens plus à bouger, je me laisse aller à mon sort, à mon désespoir. A aucun moment n'éprouvent-elles de la pitié. Elles continuent leur torture sans arrêt. Quand j'ai fini, Ayesha m'emmène dans le garage et me fait tout sortit dans l'allée pour le nettoyer. Mais je ne finis pas, Sadia vient me chercher pour courir autour du jardin et puis m'attache à nouveau à ses perches, cette fois la tête en bas. C'est encore pire.
    
    Je passe la journée à me faire torturer et à servir, ranger, me faire discipliner. Une heure avec Sadia, deux heures de travail et de service. Je n'en peux plus, j'ai mal partout, ma peau est rouge et pleine de marques et de zébrures. Je saigne, j'ai des bleus, des marques rouges, noires, seul mon visage a été épargné, mon sexe est douloureux des centaines de coups reçus, de même que mes testicules, pendant des heures, j'ai reçu des gifles, des claques, de la cravache et du fouet. Jamais Ayesha n'est-elle gentille avec moi, uniquement une extrême sévérité. Les jours se succèdent ainsi, des heures de sport intensif avec la torture des étirements. Il me semble que c'est deux semaines plus tard, je parviens à faire le grand écart de face et de côté, et Sadia montre fièrement que je peux être en une sorte de boule, elle coince mes jambes derrière ma tête avec mes bras coincés sous entre elles et mon corps. Je ne ...
    ... parviens même pas à me défaire de cette position. Et surtout, Ayesha peut me plier en deux pour me donner une fessée.
    
    Et je suis quand même excité.
    
    Un soir, elle apparait sans sa tenue de cuir noir. Elle porte une jolie robe de coton blanche et elle me prend dans ses bras.
    
    — Voilà, c'est fini, mon chéri, tu as bien tenu le coup.
    
    — Pourquoi as-tu été si méchante avec moi?
    
    — C'est de l'éducation, mon petit Arno, je t'aime, je dois veiller à ce que tu sois parfait, c'est ainsi que tu peux vivre avec nous, comme tu le souhaites.
    
    Je pleurniche et renifle un peu.
    
    — Je vais te laver, et ensuite, je vais te soigner. Tu es dans un sale état.
    
    — C'est toi qui l'as voulu, protesté-je.
    
    — Oui, et cela va t'arriver encore très souvent. Que crois-tu? Que tout sera toujours très simple? Si tu aimes vivre avec nous, c'est comme cela.
    
    Après une douche apaisante, elle me mène sur la table de la terrasse et me masser avec un onguent qui calme instantanément mes douleurs. Je me sens bien, et après ces deux semaines de tourmente permanente, c'est le paradis, j'en suis tellement reconnaissant à Ayesha que je pense qu'elle a eu raison de me faire subir ce traitement. Elle m'embrasse, me laisse parfois le visage sur sa grosse poitrine, et parfois même sur le dessus, sur la peau. Je me sens alors si heureux.
    
    Elle me remet debout.
    
    — Voilà, demain il n'y aura plus aucune marque.
    
    — C'est quoi comme pommade?
    
    — C'est quelque chose de chez nous.
    
    Elle me prend dans ...
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