1. Le redressement fiscal


    Datte: 12/01/2021, Catégories: fh, hplusag, Collègues / Travail fsoumise, hdomine, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, confession, Auteur: Elodie S, Source: Revebebe

    ... vue sur les petits nœuds roses du haut de mes dim-up ? Étrangement, je ne change pas de position, et je sens la chaleur de son regard sur mes cuisses et mon ventre jusqu’à l’heure du déjeuner, je lui offre malgré moi ce spectacle qui semble le fasciner.
    
    L’après-midi s’écoule, la première semaine aussi. Nos relations sont professionnelles, mais conviviales, et je prends un certain plaisir, avec tous mes vêtements chics, aux caresses de ses yeux. Parfois même, je crois que je fais presque exprès de renoncer à tirer sur ma jupe quelque peu remontée. À plusieurs reprises, je me penche près de lui pour examiner un document. Enivrée par son odeur typiquement masculine, subtil mélange d’eau de toilette, de bière, de sueur et de testostérone peut-être. Et je le laisse regarder un peu plus qu’il ne faut dans mon décolleté. Une fois-même, sa main a heurté mon sein, et j’ai senti une décharge électrique me traverser.
    
    Je ne sais si c’est à cause de lui (les fameux phéromones ?), mais mon cycle hormonal s’est raccourci de deux jours ce mois-ci, et j’ai dû abandonner mon petit jeu sous la table à partir du jeudi. Il a paru déçu.
    
    Déçu aussi par cet état a été Benoît, mon copain, de deux ans mon cadet, ingénieur à Grenoble et qui monte tous les week-ends en région parisienne, hors période de ski, voir ses parents le jour et moi le soir. Lacroisière autour de mon lit que nous pratiquons habituellement lors de ces retrouvailles n’a pas la même saveur pour lui, bien que je me sois ...
    ... efforcée de compenser avec les mains, la bouche et les seins, l’indisponibilité de ma féminité. Et, moi, je suis complètement restée sur ma faim, lui donnant du plaisir sans même en recevoir !
    
    C’est dans cet état d’esprit que je retrouve le lundi matin mon colocataire de bureau. Je ne sais à quelle heure il s’est installé, il a dû arriver tôt, mais son visage s’éclaire lorsque je pénètre dans la pièce. J’ai ce matin-là la petite robe noire, boutonnée sur le devant, classique, craquante mais coûteuse (Balenciaga, je crois), un body noir transparent, juste brodé de motifs sur le bout des seins et sur la chatte, des dim-up assortis et des escarpins noirs…
    
    Il me demande si j’ai passé un bon week-end, je marmonne une réponse, puis nous faisons le point des documents dont il aura besoin dans la semaine. Mon boss est absent, en voyage à Londres et Zurich pour trois jours. Il part chercher des justificatifs chez Lambert, le chef comptable (celui-là, je le hais, il est gros et gras, a un regard porcin et des mains baladeuses). Je ne sais trop pourquoi, j’ai chaud et je décide d’ouvrir le bouton du haut de ma robe ; il peut deviner le voile de mon body.
    
    Lorsqu’il rentre, il s’en aperçoit et manque de faire tomber la pile de documents qu’il a dans les bras. Il s’assied face à moi, m’enveloppe de son beau regard bleu. Il ne dit pas un mot, mais j’y lis un encouragement à faire plus. Alors, très lentement, presque théâtralement, j’ouvre un second bouton, révélant ainsi la vallée ...
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