La révélation d'Alice - Histoires de Sexe

La révélation d'Alice

... Il fallait qu’il voie ses yeux, il fallait qu’il lui fasse l’amour. Saisissant Alice par la main, puis la prenant par la taille, il l’entraîna vers la sortie et nus, vêtus des uniques perles d’eau qui coulaient sur leur corps, devant les autres clients ébaudis, il l’emmena jusqu’à une couche XXL, dans une grande salle, ouverte aux regards de tous. Alice avait trouvé son maître et voulait que tous le sachent ; elle s’allongea en souriant sur le dos, écarta les cuisses en les repliant et attira Gilles sur elle. Dressé sur ses bras au-dessus d’Alice, il pencha sa bouche vers ses jolis seins pour les suçoter, les téter, les lécher. Reconnaissante de sa douceur, Alice voulait montrer à tous sa soumission. Elle releva ses jambes dans le dos de Gilles, mit ses mains sur ses fesses pour l’inviter à entrer en elle, ce qu’il fit lentement, profondément, arrachant un profond soupir à sa maîtresse, le ventre bien occupé, ravie d’être prise par lui, devant tant de témoins. Excité. il la ramona comme un jeune marié appliqué, mais, ...

... éprouvée par la fellation préalable, par les réactions de sa maîtresse et par la chaleur de son vagin, sa résistance finissait par céder et quand, telle une jeune mariée enthousiaste, elle lâcha une bordée de « oui » de plus en plus forts, de plus en plus rapides, puis quand, atteignant son climax, elle jouit dans un long feulement, il ne se retint plus, et remplit son préservatif de son plaisir. Gilles voulut s’allonger à côté d’Alice, pour la soulager de son poids, mais elle le retint sur elle, voulant savourer jusqu’au bout la pénétration de son corps par celui de son amant, vaincu, mais pas encore en totale débandade.

Les voyeurs qui les entouraient se purent s’empêcher d’applaudir la prestation à laquelle ils venaient d’assister. Passant par là, à la recherche de son épouse, Eudes, qui n’avait eu droit qu’à une petite masturbation de la part de sa nouvelle copine, fut surpris par l’ovation. Le mari, marri et contrit (et un peu jaloux, quand il en connut la raison…) jura, mais un peu tard, qu’on ne l’y prendrait plus…