Tout bi or not tout bi
Datte: 10/01/2021,
Catégories:
2couples,
fbi,
hbi,
Oral
69,
hdanus,
init,
Auteur: Charlie Le Franc, Source: Revebebe
... billard, la bouche béante, fascinée par le spectacle.
Je pivotai afin d’être en mesure de reprendre le sexe d’Edmond en main. C’est alors que Béatrice se leva et s’assit face à moi, derrière les jambes d’Edmond. Elle saisit sa verge et la branla doucement, ce qui eut pour effet de la remettre en forme très rapidement.
Elle me dit alors avec un sourire quelque peu vicelard :
— Tu as vu comme elle est belle, longue et épaisse ? Elle ne te tente pas ? Tu vas la laisser repartir sans même lui faire un bisou ?
Et elle tendit la verge vers ma bouche. Alors que je tirai la tête en arrière le plus possible, je sentis deux mains la bloquer. Une bouche veloutée déposa des baisers dans mon cou et la voix suave d’Annie me susurra :
— Je l’ai déjà sucée, tu vas voir, elle est très bonne !
La chipie ! Au même instant, Edmond fit un mouvement des hanches qui rapprocha définitivement son sexe de mes lèvres. Traître à la cause masculine ! Trois contre un ! La lutte était inégale et vaine, je me rendis donc. Du bout des lèvres, je pris timidement le gland en bouche. Il était gros et ferme, tout englué de liquide pré-séminal. Je léchai doucement, il n’avait pas de goût, je l’enfonçai de plus en plus profond dans ma bouche et commençai des mouvements de va-et-vient sur la hampe. Curieusement, cette fellation m’était plus agréable que le baiser sur la bouche. Je me répétais en boucle dans ma tête :
— Pourvu qu’il n’éjacule pas ! Pourvu …
Levant les yeux, j’aperçus nos ...
... chères et tendres épouses qui ne perdaient pas une miette du spectacle. Heureusement, Edmond était meilleur suceur, expérience oblige, et je déchargeai le premier. Il se contenta d’avaler ma semence comme si c’était du petit lait.
Béatrice sembla avoir pitié de moi, elle m’écarta et pris ma place et la bite d’Edmond en bouche. Elle n’eut pas beaucoup de travail, car il éjacula à son tour très rapidement. Elle cracha discrètement le contenu de sa bouche dans un mouchoir, car elle n’aimait pas avaler. Et moi, je pensais« Ouf ! C’était moins une ! »
Les femmes se remirent au broutage de minous avec application et ne tardèrent pas à jouir tant elles étaient excitées. Nous fîmes une petite pause en éclusant quelques coupes de champagne bien frais. Nous recommençâmes ensuite les « cochoncetés », Béatrice s’installant en« 69 » avec Edmond et moi faisant de même avec Annie. Nous jouîmes chacun notre tour une deuxième fois et la soirée s’acheva ainsi. Nous nous quittâmes en nous embrassant sur la bouche, tradition chez les libertins.
Le retour chez nous fut silencieux, chacun restant dans ses souvenirs de la soirée. Ce n’est qu’en se couchant que je demandai à Béatrice :
— Alors, ton verdict ?
— Sensass ! À refaire ! Et toi ?
— Idem ! Je les appelle demain pour remettre ça !
Le lendemain matin, dimanche, grasse mat’. Je somnolais en rêvant aux évènements de la veille. Nous étions tous les quatre dans le grand lit et Edmond me prenait la bite et me la branlait doucement, ...