1. M ille et une nuits


    Datte: 10/01/2021, Catégories: Anal BDSM / Fétichisme Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster

    J'avais résolu d'att****r ce bel oiseau avant qu'il ne s'envolât. Guido me l'avait présenté comme sa nouvelle amie. Après renseignements je sus qu'il l'avait récupéré après qu'elle eût été évincée par un autre. Il était patent que nous avions affaire à une garce. Je ne concevais pas que Guido s’embêtât par une pareille compagnie. Encore qu'il a toujours aimé côtoyé les dangers. Tomber dans un précipice ne lui a jamais déplu. Quoiqu'il en soit il escomptait bien qu'elle fasse bander et tirer la langue à tous ses amis. Je concède qu'elle me faisait un grand effet.
    
    Pour ne rien gâcher elle avait un bel esprit. L’adage : Sois belle et tais-toi est peu court et menteur. Elle était au contraire cultivée. Outre de parler de livres, elle fit des remarques pertinentes sur ma façon de peindre. Je barbouillais en effet quelques toiles à heures perdues. J'oscillais entre la façon de Manet et de Courbet. Ce qu'elle perçut de suite. Un de ses premiers maris avait géré une galerie célèbre à Paris. Elle y avait beaucoup appris en même temps que le snobisme de ce milieu l’avait dégoûté. En un temps record son corps et sa conversation m'avaient rendu fou.
    
    Belle quadra, elle n'en avait pas moins conservé ses allures de vingt ans. Elle arborait à cet égard toujours une jupe courte et des bas coutures dont elle laissait voir la naissance. Le tout juchée sur des escarpins à talons hauts. Elle déployait à l’occasion sa chevelure de jais noir resplendissante.
    
    On eût dit selon une sorcière ...
    ... ou une panthère. Les autres femmes nous moquaient d'être sensible à ce kitsch et à cet artifice. Elles dénonçaient d'abord la vulgarité de la personne pour finir par le terme tonitruant de pute. Elles devaient se résoudre pourtant à l'évidence mystérieuse de ce pouvoir.
    
    A maintes de ces femmes, j'évoquais le goût particulier des grands romantiques que furent Balzac, Baudelaire ou Barbey d'Aurevilly pour ces sombres créatures. Elles ne comprenaient pas qu'un poète eût pu titrer son recueil : les Fleurs du Mal. Par jeu je récitais à ma brune de nombreux vers qu'elle connaissait et goûtait. Par ce biais je lui exprimais mon désir en même temps le reproche qu'elle se put donner à d'autres garnements que moi. Elle sut que j'étais fort renseigné. Un homme a du mal à ne pas se vanter de sa bonne fortune. Nombre de mes amis en effet entre temps attrapé.
    
    Ils ne m'avaient épargné aucun détail. La miss peu farouche pouvait être obtenue à peu de frais. On pouvait parler à ce titre d'une machine de sexe. Elle ne pouvait pas concevoir de ne séduire un homme. Celui-ci devait être au bout d’un moment subjugué et en sorte de remerciement elle se donnait alors tout simplement. Certains de ces amants d’occasion étaient peu ragoûtants. Je l'eus voulu plus difficile et sélective. Je trouvais qu’elle abaissait son esprit à céder à l'empire de ses sens. Je n'avais cure de l'ami qu'elle cocufiait. Ce dernier l'avait en somme mérité.
    
    Elle pouvait pousser ce jeu jusqu'à la prostitution. Un ...
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