1. Gabrielle


    Datte: 10/01/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail ascenseur, fsoumise, cérébral, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, fdanus, Auteur: Gabrielle, Source: Revebebe

    ... peuvent voir à travers ma robe que je ne porte rien dessous. Je n’ai jamais ressenti un tel trouble. Quand mon collègue prend le relais, la seule chaise disponible se trouve à côté du geek de la boîte, un peu en retrait par rapport au patron et notre client.
    
    Rien ne se passe. Je ne comprends pas.
    
    Il pourrait en profiter ! Mais non, même pas. Je n’ose pas imaginer ce qui lui passe par la tête. Mon imagination s’enflamme : j’imagine ce grand échalas se masturber tous les soirs en humant mon parfum intime, se branler dans mon foulard, m’attacher avec et profiter de moi à l’insu de tous, au milieu de la boîte. Aïe aïe aïe. Si je continue je vais devoir me porter pâle. Mon intimité est en feu, je me tortille sur ma chaise comme une petite chatte en chaleur, n’attendant qu’un mâle pour la combler. Mais qu’attend-il pour tendre la main et me toucher ? Trop occupés à leurs affaires, les autres ne remarqueraient rien ! N’y tenant plus, je tends la mienne, effleure la toile de son pantalon, remonte vers son entrejambe. Je ressens un tressaillement, son souffle se fait plus court, il pose son regard sur moi. Puis prend ma main, et la pose gentiment sur mon genou.
    
    Pardon ?
    
    Une jolie nana comme moi, qui pue le sexe à plein nez et dont il a pu entrevoir la chatte lisse et encore rougie de ses précédents ébats se met à l’allumer en pleine réunion et il refuse ? D’un geste il me montre mon patron, puis sa montre, puis le foulard.
    
    « Tu ne perds rien pour attendre », ...
    ... semble-t-il dire.
    
    Je n’y comprends toujours rien. Mon excitation et la frustration de ne pouvoir y répondre tranquillement me font oublier l’endroit où je suis. Le matin même, personne n’aurait pu me faire croire que je serais en train de mouiller comme une folle à l’idée d’être nue sous ma robe au travail, en sachant qu’au moins un des hommes présents autour de moi le sait pertinemment. Et pas un étalon comme ceux que j’ai l’habitude de ramener chez moi et que je trouve dans les bars les plus branchés de la capitale, non !
    
    Subrepticement, j’attrape un stylo dans mon sac et pose délicatement ma main sur le bord de ma robe, entre mes cuisses. Je commence à jouer avec, je suis du coin de l’œil le regard de mon voisin, qui semble se régaler bien plus en m’observant que lors de mes tentatives pour le toucher. J’enfonce délicatement le stylo dans ma chatte dégoulinante, en écartant légèrement les cuisses pour pouvoir rapprocher ma main. Après quelques va-et-vient, je ressors le stylo, et le tends négligemment à mon nouveau compagnon de jeu. Celui-ci, impassible, le porte à ses lèvres et fait mine de se lécher les babines. Un tressaillement dans la voix de mon collègue me fait tourner la tête, et je vois à ses yeux écarquillés qu’il se doute de quelque chose. Merde, encore un peu et je vais finir par m’exhiber à la boîte entière. Il vaut mieux que je m’arrête là. Je reprends une attitude de jeune fille sage et écoute patiemment la fin de la réunion en essayant de ne rien montrer du feu ...