1. COLLECTION COCU. Ma belle-mère, quelle salope (3/4)


    Datte: 10/01/2021, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    Arlette ma belle-mère a encore trouvé encore le moyen de m’entraîner dans de nouvelles turpitudes, j’avais décidé que cette année pendant les vacances, je n’aurais pas de rapport avec d’autres hommes.
    
    Elle m’a pris au mot, se sont des femmes qu’elle drague et avec lesquelles nous passons la soirée plutôt chaud côté températures et surtout ambiance, elle a déjà réussi à ce que Véronique la plus délurée des deux me fiste sur le transat.
    
    Quand le portable dont j’ignorais l’existence sonne, elle demande à nos nouvelles amies de garder mes enfants demain afin de m’emmener au restaurant à Royan.
    
    De retour, nous finissons la soirée jusqu’à point d’heures nous donnant énormément de plaisir, pour une première avec des femmes, c’est une réussite.
    
    Ce sont mes enfants au matin qui nous réveille, nous sommes toutes les quatre affalées sur les transats, Arlette et Adeline les chattes exposées au soleil se levant, Véronique une jambe au sol m’expose son cul et sa fente encore couverte de sécrétions.
    
    Le soir, Arlette a tenu à choisir ma tenue, elle a elle-même une tenue assez surprenante, short et cuissarde noire avec chemisier attaché sous ses seins, on voit son nombril, elle n’a mis aucun soutien pour ses seins.
    
    À quelques détails prêts, j’ai une tenue presque identique, mais avec une brassière montrant les pointes de mes seins et s’arrêtant à leur limite inférieure et dégageant moi aussi mon nombril, avec collant noir et bottines.
    
    Nos copines arrivent, les enfants ...
    ... sont déjà couchés, il y a quelque temps, je serais restée, mes bébés ne faisant pas leur nuit, je devais me lever deux à trois fois, le premier rassasié par mes seins, car je les allaitais, c’était la deuxième qui réclamait.
    
    • Profitez bien de votre soirée comme nous avons profité de la nôtre hier, vos transats sur la terrasse seront bien utiles pour récupérer.
    
    Je démarre ma voiture, c’est formidable, moi qui ne sors plus ou très peu, je vais passer une soirée au restaurant, nous arrivons vers le port et nouvelle chance, je trouve une place qui se libère à quelques mètres de l’hôtel « Le Cordouan ».
    
    • Tu es folle, toi qui as une petite pension, ce restaurant doit être hors de prix.
    
    • N’est aucune crainte, tu vas voir, suis-moi et n’aie jamais l'air surpris, il faut savoir se faire inviter dans ce type de restaurant.
    
    J’aurais dû m’alarmer la connaissant, surtout après cette phrase, mais j’ai d’autres choses en tête, mes enfants, je prends mon portable et j’appelle Véronique qui a fini par me donner le sien.
    
    • Minouche, tu ne vas pas m’appeler toutes les cinq minutes, je t’ai donné mon numéro pour que je t’appelle en cas de problème, j’avais Adeline en main, elle était prête à jouir, je crois qu’elle n’apprécie pas à son regard.
    
    Elle raccroche, c’est sûr, profitons de la soirée, c’est drôle Arlette entre dans le bar et se dirige vers deux hommes qui lui font signent, dans quel traquenard me conduit-elle.
    
    • Arlette, je sens le piège, je t’ai dit que je veux ...
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