1. Municipales 2008... Prospection et promotion


    Datte: 09/01/2021, Catégories: fh, fhh, fagée, extracon, grosseins, groscul, poilu(e)s, fépilée, campagne, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Oral préservati, pénétratio, fdanus, fsodo, portrait, Humour occasion, attirgros, Auteur: XXL, Source: Revebebe

    Il y avait eu du grabuge au sein du conseil municipal de notre petit village, pourtant si consensuel habituellement. Les futures échéances municipales de 2008 étaient à huit mois et le premier adjoint, très ambitieux, avait fomenté un complot avec d’autres conseillers, dans le but de présenter sa propre liste. Scénario on ne peut plus classique. Le maire me semblait intègre et dévoué à ses administrés. Par contre, les dissidents étaient un ramassis de bouffons réactionnaires essentiellement mus par leurs intérêts personnels. J’avais pris mes responsabilités : je devais soutenir ce brave homme. Je lui avais même proposé mon ami Jean-Marc comme futur adjoint, compétent et super motivé ; peut être avais-je mauvaise conscience d’avoir poliment refusé de figurer sur sa liste.
    
    C’est donc avec Jean-Marc qu’on commença une prospection très discrète, pour convaincre quelques braves gens d’adhérer à notre cause et de s’inscrire sur la liste municipale. Les hommes furent facilement trouvés mais, parité homme/femme oblige, il manquait au moins trois postulantes ! Lucette, une ancienne déléguée syndicale qui avait eu maille à partir avec un des olibrius de l’autre liste, accepta de nous recevoir, mais dans le plus grand secret. Elle voulait connaître les tenants et aboutissants de sa future fonction avant de prendre sa décision.
    
    Elle était pimpante, Lucette, bien que sa jupe droite noire et son chemisier blanc reflètaient un conformisme surprenant, pour une quinquagénaire aussi ...
    ... pétulante de vie. D’emblée elle nous informa qu’elle avait choisi qu’on discute hors la présence de son mari, vu que ce dernier était incapable de tenir un secret et que tout le village serait au courant de nos tractations dans le quart d’heure qui suivrait. Lucette avait rehaussé de rouge ses joues de poupon jovial ; elle avait discrètement maquillé de bleu ses yeux en amande, en posant aussi une touche magenta sur ses lèvres charnues. Les cheveux étaient coiffés élégamment, gonflés pour leur donner de l’amplitude, mélangeant le châtain clair et les reflets blonds, savamment dosés. Les chevilles fines se prolongeaient par des jambes musclées et des cuisses imposantes, solidaires d’une croupe large qui tendait le tissu de la jupe, assez moulante. Force était de constater que ses trois maternités lui avaient façonné une poitrine épanouie, dont les seins lourds attirèrent nos regards, dans leur balancement lent et majestueux. Je jetais un coup d’œil discret sur les broderies du soutien-gorge qui s’incrustaient sous le chemisier légèrement translucide. Notre hôtesse nous proposa deux fauteuils profonds en attendant qu’elle apporte les tasses, car elle nous avait préparé du café.
    
    Jean-Marc en profita pour attaquer un petit discours motivant sur les tâches qui seraient attribuées à sa future colistière, du moins il l’espérait grandement ! Lucette semblait intéressée et posait des questions, tout en faisant des allers-retours entre la cuisine et le salon où elle déposa le sucrier, ...
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