Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (3) - Histoires de Sexe

Science-fiction : Domination d'une jeune femme artificielle (3)

... Requête entendue. Je m’occupe de votre stimulation. »

Ni une, ni deux, le robot a plongé sa petite main féminine dans mon pantalon, pour aller chercher la queue en érection qu’il avait détecté avec sa vision thermique. J’ai n’ai pas eu le temps de me dégager de son emprise : à peine avait-il attrapé mon pénis qu’il me branlait frénétiquement.

« Concentrez-vous sur les photos du partenaire potentiel, » fit la voix robotique.

« Putain, putain… »

Je continuais de grogner tandis que ce semblant de femme s’occupait de ma bite. Elle me fixait intensément, d’un regard froid, et effectuait des va-et-vient sur mon chibre sans afficher la moindre émotion. Comment en étais-je arrivé là ? Par la pensée, elle faisait défiler les photos de mon futur rencard sur l’ordinateur. Melina qui léchait ses propres seins. Melina qui écartait les jambes. Melina qui exposait son petit trou du cul. D’une main gauche experte, aidée par les pouvoirs de calcul de ses circuits, le robot s’est débarrassé de mon pantalon et de mon sous-vêtement sans cesser les mouvements de branlette. Ainsi, ses mouvements n’étaient plus entravés et il pouvait me procurer un plaisir maximal.

Il ? Pouvais-je continuer à le désigner au masculin ? Il semblait bien que c’était une jeune femme qui était occupé à m’astiquer… Mais elle était si froide et inhumaine… Comment ne pas sentir qu’il s’agissait là d’une machine sans émotion, d’un robot ? La chaleur réaliste de sa main ne suffisait pas à faire ...

... illusion.

« Ne pensez pas à moi, concentrez-vos sur les photos du partenaire potentiel. »

Pouvait-elle lire dans mes pensées ? Alors qu’elle me branlait allégrement j’ai jeté un coup d’œil à la tablette tactile, le dysfonctionnement avait cessé et je pouvais voir ce que j’avais fait plus tôt : « Pudeur à 0% : ATTENTION, mode « Putain » activé ! » Ceci explique cela.

« Concentrez-vos sur les photos du partenaire potentiel. »

Je devais soit suivre ses instruction, soit désactiver la machine. Mais elle me tenait par la queue : l’éteindre alors qu’elle me faisait un bien fou était au-dessus de mes forces. Je me suis alors concentré sur les photos de Melina pendant que ma petite androïde perverse s’évertuait à me vider.

Les photos défilaient toujours. Melina avec un gode dans la bouche. Avec un gode dans la chatte. Un gode dans le cul. Quelle salope ! La photo où elle se godait le cul était ma préférée : prise par derrière, elle nous épargnait la vue de son visage. La vue de son petit trou pris d’assaut par un énorme godemichet était plus plaisante que celle de sa tête. Mon androïde a du sentir ma préférence car elle a fait un arrêt sur image et m’a pressé les couilles de sa main gauche tout en accélérant la branlette. La sauce montait. Mon FG-61 me dit alors :

« Lâchez-vous, Monsieur. »

Je me mis alors à gicler tout ce que j’avais dans les couilles. Le sperme aspergea les photos à l’écran, la petite androïde qui me servait, et mon pantalon. Après quelques secondes de ...