1. Stephanie


    Datte: 08/01/2021, Catégories: fh, jeunes, inconnu, boitenuit, danser, école, fsoumise, Masturbation Oral init, Auteur: Thomas baroque, Source: Revebebe

    C’était lors d’une fête de promo, alors que j’étais dans une de mes dernières années d’étude. Une jolie rouquine de 1m7O, aux formes savamment mises en valeur dans une petite robe, m’est présentée. Elle est peu bavarde mais rapidement elle me fait comprendre qu’elle est en quatrième année de chimie et surtout qu’elle a un petit ami en Allemagne. Message reçu : chasse gardée. Poli, j’entretiens la conversation pendant quelques dizaines de minutes puis je la présente et l’abandonne à un copain qui semble loucher sur sa poitrine. La réalité est que je suis un goujat mais un goujat avec un zeste de tact… J’oublie cette fille au cœur pris et profite de mes amis avant que l’alcool ne les transforme en zombis.
    
    Les rares rescapés de ce genre de beuverie se retrouvent en boîte. Sur la piste, je suis surpris de retrouver ma rousse. Manifestement, je suis la seule personne qu’elle connaisse ici. Il faut dire que les rangs se sont encore sérieusement clairsemés. Elle danse de façon très sensuelle et de façon un peu extravertie. Peu à peu, nous nous retrouvons au milieu d’une foule d’inconnus qui nous pressent, et naturellement, nos corps se rapprochent… D’abord, les mains sur sa taille fine qui se creuse et qui ondule, ses yeux perçants qui se cachent derrière des mèches rebelles. Bandante… Ses lèvres bien dessinées m’attirent, m’obsèdent. Obéissant à une pulsion, je lui vole un baiser qui se transforme en baiser fougueux. La passion semble éclipser ses scrupules et puis l’Allemagne ...
    ... c’est loin. Jusque-là, l’histoire est assez classique et j’aperçois une fin de soirée agréable en savourant ses lèvres…
    
    Mais soudain, tout bascule ! Elle me repousse sèchement et part à vive allure, sans un mot, sans un regard. Mal embrassée ? Retour du fantôme teuton ? Questions idiotes : je me mets à sa poursuite. Arrivé presque à la sortie, je l’aperçois recroquevillée, sanglotant dans un coin sombre. Très peu pour moi les histoires compliquées… Étant donc un salaud avoué, j’amorce une fuite discrète vers la piste. Mais mes yeux s’accrochent sur ses jambes : fines élégantes… Vaincu, je prends nos affaires au vestiaire et je la convaincs de se laisser raccompagner. Mais à peine sortie, elle explose en sanglots et en lamentations :
    
    — Ah ! qu’est-ce que j’ai fait ! Il (son Jules je suppose) est si gentil ! Je suis vraiment trop conne, je suis une moins que rien…
    
    L’horreur… Me voilà assistante sociale nocturne et de répondre :
    
    — Mais non, c’est rien, c’est fini, on oublie, il ne s’est rien passé… J’ai tout oublié…
    
    Glauque… Vite un taxi et lui crier adieu en allemand… Mais hélas, elle s’effondre sur moi. Pour éviter de nous donner en spectacle, je la mène s’asseoir sur des marches d’immeuble que j’aperçois sous une sombre porte cochère. Hélas, la crise redouble ! Elle prend ma chemise pour un mouchoir. On passe aux gémissements d’un animal à l’agonie. Excédé, je lui ordonne :
    
    — Calme-toi ! On risque de réveiller tout l’immeuble… Un tour en panier à salade pour ...
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