1. Première partie


    Datte: 07/01/2021, Catégories: f, fh, cérébral, Masturbation intermast, Oral 69, nopéné, jeu, Auteur: Rosebud, Source: Revebebe

    ... promis, elle approcha ses lèvres de mon sexe et se tourna de sorte que sa vulve soit accessible à mes doigts. Comme sa langue dessinait des arabesques sur mon frein, mon majeur s’invita dans son sexe luisant.
    
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    À chaque fois qu’elle sentait la sève monter, elle comprimait la base de mon sexe et attendait quelques secondes avant de poursuivre. C’était divin. Mes doigts découvraient son clitoris, allaient de son vagin ruisselant à son anus. Elle jouit plusieurs fois, sans perdre toutefois le contrôle et maîtrisant toujours mon propre orgasme. Nous étions suspendus hors du temps. Quand elle décida de mettre fin à mes divines souffrances, je ne pus contenir un hurlement rauque de plaisir. Je vis alors sur l’écran du radio-réveil qu’il était près de midi, et nous n’avions pas échangé la moindre parole.
    
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    — Tu veux déjeuner avec moi ? demanda-t-elle.
    
    Je la regardais toujours avec délectation.
    
    — Non, c’est toi que je veux dévorer !
    
    Je la retournai alors brusquement sur le dos et lui écartai les cuisses pour plonger le visage dans son sexe. Elle en profita pour agripper mon pénis et commença à le branler lentement. Ma langue allait et venait en elle. Je goûtais avec délice l’essence de son antre intime. Comme si je voulais saturer chacun de mes sens de la vue de son corps, de l’odeur de sa vulve, du goût de sa peau et de sa douceur.
    
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    Quand nous reprîmes à nouveau nos esprits, il était près de seize heures et il était temps que je parte. Ce fut un ...
    ... déchirement. Si notre esprit avait conscience que cette séparation était inéluctable, nos corps n’en avaient que faire et réclamaient encore plus de caresses et de baisers.
    
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    Nous ne pûmes nous revoir avant le salon suivant. J’arrivai tôt pour m’installer et, surtout, retrouver Laetitia. Nous nous sommes salués d’un sourire et, sans avoir besoin de parler, nous sommes tous deux dirigés vers les toilettes. Avec une frénésie rare, ma main se faufila sous sa jupe tandis que la sienne baissait mon pantalon pour en extirper mon sexe, bouillant de désir. Nous nous sommes masturbés rapidement, comme un shoot nécessaire pour pouvoir appréhender cette journée où nous serions proches l’un de l’autre mais où il ne nous serait pas possible de donner à nos corps ce qu’ils réclamaient.
    
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    À plusieurs reprises durant la journée, les toilettes du salon furent le théâtre de nos attouchements coupables. Melissa, une amie auteure installée à côté de moi, releva même la concomitance de nos absences avec un sourire complice. Le soir venu, la plupart des auteurs ayant déserté la salle, je restai pour l’aider à remballer les livres. Une fois la corvée expédiée, ce fut au tour de sa camionnette d’être secouée par nos ébats. Un soixante-neuf au milieu des cartons de livres. Évidemment, à plusieurs reprises, l’idée de planter mon sexe dans le sien ou dans son anus me traversa l’esprit et le bas-ventre. Il s’en fallut de peu que je ne cède à la tentation mais, ayant sans doute perçu ce désir, ...
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