1. V comme...


    Datte: 07/01/2021, Catégories: fh, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation Oral fgode, pénétratio, double, couple+h, Auteur: Zébulon, Source: Revebebe

    ... de ce genre de compliment ! Donc, elle lui racontait tout ça parce qu’il était un gars bien. Un confident. Un bon copain, quoi ! Une copine au masculin ! Mais pas un amant potentiel… À ce moment précis, il aurait préféré être un salaud cynique qui saute sur tout ce qui porte jupon ! Bon ! Il n’aurait pas trop de la soirée entière pour l’amener à l’envisager comme amant. En fait, il se retrouvait au point de départ de son plan, mais à l’envers. Il ne s’agissait plus de la convaincre que Laurent était un salaud, mais de lui prouver que lui pouvait l’être !
    
    Estelle reprit :
    
    — Bon, assez parlé ! À table ! Viens, suis-moi !
    
    Elle tourna les talons et se dirigea vers le salon. Tiens, bizarre, il n’y a pas de table dans le salon ; elle est dans la cuisine. Ou alors… elle avait parlé de repas spécial, elle avait dû dresser la table dans le salon. C’est quand même plus romantique que dans la cuisine. À repas spécial, mise en scène spéciale !
    
    François entra dans le salon à sa suite. Rien. Pas de table ! Ah ! Elle devait juste vouloir servir l’apéritif dans le salon, confortablement installés dans le canapé. Le canapé ! Le gode y était toujours ! Quand elle avait parlé de « ranger un peu », François avait pensé qu’elle faisait allusion à ça. Il détourna rapidement les yeux en espérant qu’Estelle n’ait pas vu qu’il avait vu.
    
    La jeune femme se retourna vers lui.
    
    — Tu sais, mon cadeau d’anniversaire, j’ai décidé de me l’offrir toute seule.
    
    Cette réflexion tombait un ...
    ... peu comme un cheveu sur la soupe. François répondit ce qui lui passa par la tête.
    
    — Tu as raison, on n’est jamais mieux servi que par soi-même.
    — Oui, c’est ce que je me dis aussi !
    
    Elle tendit le bras vers le canapé, désignant le gode.
    
    — Tu vois à quoi j’en suis réduite, quand Laurent n’est pas là.
    
    François avala sa salive. La situation devenait gênante. Et surtout, il commençait à perdre les pédales. Il ne maîtrisait plus rien, il ne comprenait pas quel jeu jouait la jeune femme. Il n’eut pas le temps de répondre à sa question. Estelle enchaîna tout de suite.
    
    — Mais, je suis bête : bien sûr que tu vois !
    
    François se sentait de plus en plus mal à l’aise. Était-ce une allusion à son voyeurisme ? L’avait-elle vu l’espionnant ? Il n’était plus sûr de rien. Son visage s’empourpra.
    
    Estelle le fixa droit dans les yeux. D’un mouvement preste, elle fit glisser sa robe à terre. Elle se tenait maintenant nue devant lui.
    
    — Monsieur est servi ! À table !
    
    François était pétrifié. Ça allait trop vite, là ! Il n’avait plus le temps de penser, plus le temps de réfléchir, d’analyser, d’élaborer une stratégie. Rien ne se passait comme prévu. Il était complètement perdu. Il aurait voulu appuyer sur le bouton « pause » pour avoir le temps de récupérer ses esprits.
    
    Voyant que le jeune homme ne bougeait pas, elle reprit la parole, d’un ton calme.
    
    — Laurent m’a parlé une fois de cette fille, en terminale. Tu en bavais pour elle et il te l’a piquée, c’est bien ça ...
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