1. V comme...


    Datte: 07/01/2021, Catégories: fh, voisins, Voyeur / Exhib / Nudisme photofilm, Masturbation Oral fgode, pénétratio, double, couple+h, Auteur: Zébulon, Source: Revebebe

    ... elle dut décider que la culotte était un obstacle à plus de plaisir, car elle l’enleva rapidement. Elle finit de s’en débarrasser par un mouvement rapide du pied sur le côté, qui lui laissa les jambes largement écartées. Notre voyeur retrouvait les images qu’il connaissait si bien, et qui lui plaisaient tant.
    
    Maintenant que le rempart de tissu avait disparu, le doigt de la jeune femme avait accès à de nouveaux territoires qu’il s’empressa d’investir. Il s’enfonça profondément dans la cavité qui s’ouvrait sous lui, puis en ressortit luisant de plaisir. Il reprit son ascension, s’attarda sur le pic qui surplombait la vallée, puis replongea de plus belle. Estelle continuait à parler, ou plutôt à gémir, dans son micro d’oreillette. Cette danse digitale à un puis deux participants continua encore et encore jusqu’à ce que, brutalement, la jeune femme se lève et quitte la pièce.
    
    Oh ! non ! Elle avait compris qu’elle risquait d’être vue ! Elle allait continuer dans sa chambre, à moins que cette découverte ne lui ait coupé l’envie. La déception fut grande pour François. Mais en même temps, cette scène était inespérée. Il fallait la considérer comme un bonus, avant, c’est sûr, de pouvoir toucher ce qu’il n’avait que vu jusqu’à présent ! Demain ! Demain, j’attaque !
    
    Soudain, Estelle réapparut. Complètement nue, cette fois, elle avait enlevé sa jupe. Elle tenait quelque chose à la main, que François n’arrivait pas à distinguer. Elle vint s’allonger à nouveau, toujours en ...
    ... conversant. Elle écarta les jambes et porta sa main entre ses cuisses. Oh my god ! se dit François, c’en est un !
    
    La jeune femme fit glisser l’objet oblong sur l’intérieur de ses cuisses, partant du genou pour descendre jusqu’au périnée. Elle le fit plusieurs fois, reculant le moment que ses entrailles appelaient, alimentant encore son flot de lave brûlante. Puis, n’y tenant plus, elle le fit coulisser entre les rives de son fleuve pour bien l’enduire de son liquide oléagineux. Enfin, elle l’enfonça brusquement là où quelques minutes plus tôt se trouvaient ses doigts. Un spasme parcourut son corps. François ne pouvait l’entendre, mais il imagina que les mouvements de sa bouche correspondaient à un gémissement de plaisir.
    
    Les mouvements qu’elle imprimait à l’objet en plastique furent d’abord lents et réguliers. Elle l’enfonçait profondément, le maintenait quelques secondes tout au fond d’elle, puis le remontait lentement jusqu’à ce que le bout ne soit plus que posé sur elle. Elle attendait encore quelques secondes, puis recommençait la même séquence. Elle varia la position de ses jambes, tantôt allongées pour entraver la pénétration, tantôt repliées sur son ventre pour une visite plus envahissante.
    
    Dans cette dernière position, François pouvait voir distinctement la coulée succulente, qui gonflait par vagues à chaque remontée à la surface, faire son chemin entre les fesses rondes et fermes. Son caleçon était devenu une cage de contention ; il dut l’enlever pour libérer son ...
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