1. Vacances 2018 (3)


    Datte: 07/01/2021, Catégories: Erotique, Auteur: dominic47, Source: Xstory

    ... se demande ce que Christine a encore inventé. Celle-ci lui indique comment se mettre. Face et genoux sur le tapis, la position est inconfortable, mais ô combien excitante pour celui qui regarde une soumise qui s’offre, le cul en buse, sexe ouvert, petit trou visible ! Si Ophélie est excitée par la pose qui lui est imposée, elle mouille déjà de se sentir salope ; Christine est par ailleurs galvanisée, son plaisir n’a plus de limites.
    
    — Que tu es belle comme ça ! J’aime te voir offerte... et toi, je parie que ça t’excite.
    
    A ce propos, tu as aimé notre après-midi ?
    
    —.......
    
    — Réponds-moi ! Et surtout, ne me mens pas.
    
    C’était bien la balade
    
    — Oui.
    
    — As-tu aimé te promener avec le plug dans les fesses ?
    
    — C’était inconfortable.
    
    — Ce n’est pas ce que je te demande, mais passons.
    
    Tu as aimé le regard des hommes sur la plage ?
    
    — J’étais honteuse.
    
    — Etais-tu excitée ?
    
    — Non, je me sentais humiliée.
    
    — Tu es sure.
    
    — Oui.
    
    — OK....... Attends, je reviens.
    
    Christine revient avec le string d’Ophélie dans la main
    
    — Tu le reconnais.
    
    — Oui, c’est mon string.
    
    — Il est tout mouillé, tu peux m’expliquer ?
    
    — C’est normal, on est allé se baigner.
    
    — Là, tu me prends pour une conne.......
    
    Cette odeur... Tu la reconnais ?
    
    — Euh... Oui.
    
    — Donc tu étais excitée.
    
    — Ce n’est pas ça.
    
    — Tu me mens et je te l’ai déjà dit, je ne le supporte pas. On voit même encore les marques tellement tu devais être trempée.
    
    Pour moi, tu ...
    ... es une salope qui ne s’assume pas.
    
    Je vais t’apprendre à ne plus me mentir. Je veux que tu t’acceptes.
    
    — Non, pas ça... s’il te plaît.
    
    Ophélie a vu un bâillon-boule approcher de sa tête. Elle se doute de ce qui l’attend. La panique s’empare d’elle et les larmes coulent. Christine n’en a cure. Cette situation, elle l’a provoquée, espérant en venir à cette issue. Elle aime voir le cul de son amante striée, elle aime la contraindre. Elle lève la cravache au-dessus du derrière d’Ophélie et c’est vingt coups de puissance moyenne qui s’abattent sur ces fesses et le haut des cuisses. Les coups sont maîtrisés, et bien orientés pour donner un marquage net. Son intention n’est pas de la faire saigner, mais pouvoir l’emmener à la plage demain, trace visible, pour l’exhiber. Durant la correction, Ophélie s’époumone dans son bâillon, les larmes coulent à flots. Enfin, Christine enlève le bâillon, lui caresse le visage, défait ses liens, l’enlace tendrement en lui passant délicatement de la pommade.
    
    — Pourquoi tu m’obliges à te punir ? J’ai horreur de ça. Je t’aime tellement.
    
    Tout en lui parlant, Christine la détache puis la bécote partout sur son visage. Elle la câline et parvient à l’embrasser doucement au bout d’un quart d’heure. Comme Ophélie s’est calmée, Christine revient sur la journée tout en la caressant.
    
    — Tu vois à quoi ça nous mène tout ça ?
    
    Raconte-moi, je veux mieux te connaître. Qu’est-ce qui t’a fait réagir malgré toi ?
    
    — Je ne sais pas. J’étais ...
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