1. Comment j'ai humilié ma femme pour son plus grand plaisir (3)


    Datte: 06/01/2021, Catégories: Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: gbbdsm, Source: Xstory

    ... tenue qu’elle porterait, et aussi ce que cette tenue laisserait voir de sa plastique avantageuse...
    
    De par ma position de responsable, chacun venait se signaler à moi au moment de partir. « Au revoir, à demain » était la formule la plus employée. Mais souvent c’était le moment où l’on me posait des questions de tout ordre.
    
    Jenny, comme les autres collègues, avaient de temps en temps l’une ou l’autre question à me soumettre. J’avais assez vite pris l’habitude de me trouver dans mon bureau lorsqu’elle s’en allait, l’obligeant ainsi à y passer pour me dire au revoir, mais me permettant également de l’écouter entre quatre-z-yeux lorsqu’elle avait une demande à me soumettre.
    
    L’avantage du bureau était aussi que je pouvait la faire asseoir en face de moi. Je dois être honnête en précisant que cette situation me plaisait particulièrement lorsqu’elle portait une minijupe. Ceci pourrait être considéré par certains comme un abus de position, voire une certaine sorte d’intimidation sur le lieu de travail, mais, au fond, je ne lui imposais rien. C’est elle qui choisissait ses tenues, et je ne faisais rien pour l’y encourager, mis à part le fait que mon regard ne devait laisser aucune équivoque sur l’intérêt que je portait à ce que cette tenue ne cachait pas.
    
    C’est vers la fin de l’hiver que Jenny avait rejoint notre équipe.
    
    À mesure que les beaux jours se faisaient plus nombreux, ses tenues devenaient plus « décontractées ».
    
    Un jour qu’elle passait me saluer - je me ...
    ... trouvais alors dans le magasin - elle engagea la conversation. J’aperçus alors à travers la vitrine la voiture de celui que j’avais identifié comme son copain (par son dossier personnel je savais qu’elle n’était pas mariée). Je lui dis : « je crois que ton copain t’attend ».
    
    Sa réponse, rapide et claire à la fois, ne manqua pas de me surprendre : « Jean-Louis n’est pas MON copain. Lui est fou de moi, mais il sait très bien que ce n’est pas réciproque. Je lui ai clairement dis qu’il ne devait se faire aucune illusion à ce sujet. Il adore venir me chercher au travail quand il le peut et me ramener chez moi. Ce n’est pas l’homme de ma vie, mais il possède certains arguments qu’une femme aime chez un homme et, en attendant, je ne me prive pas de passer de bon moments avec lui ».
    
    Quelle confidence ! Je me suis trouvé décontenancé par le fait qu’elle me confie ces informations tout d même assez privées sur sa situation, et aussi un peu émoustillé par les allusions qu’elle faisait par trop clairement sur « les arguments » de ce copain et sur « les bons moments » qu’elle s’autorisait de passer avec lui. Si elle avait voulu être vulgaire, elle aurait dit « il a une grosse bite, et j’aime qu’il me la mette ! »
    
    Une autre fois, alors que, assise dans le bureau, mon regard avait, une fois de plus, dévié vers son entrejambe, elle me demanda ingénument « ma tenue te plaît ? ». « Beaucoup », lui répondis-je, « elle te met particulièrement en valeur ».
    
    J’ai perçu alors le mouvement ...
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