Kristel - Défi dans les dunes - Histoires de Sexe

Kristel - Défi dans les dunes

... mais appuyé sur mon short et sur ce qu’on devinait sans mal.

— C’est parti !

Nous avons alors bondi de concert sur nos vélos. J’ai choisi de rejoindre la route au plus tôt, tandis que Kristel coupait par les dunes. Jamais je n’ai pédalé avec autant de ferveur, comme si ma vie en dépendait. Je suis tombé à plusieurs reprises, m’écorchant même le genou, mais rien ne pouvait m’arrêter. J’eus même un instant de panique en apercevant la voiture au loin, lorsque je crus y discerner Kristel assise à côté de son vélo. Mais non, il n’y avait personne. Lorsque j’ai déboulé sur le parking, manquant de heurter une voiture qui sortait, la voiture m’attendait, seule. J’avais gagné. Kristel arriva moins d’une minute plus tard, mais je ne pouvais toujours rien dire. Je n’avais pas repris mon souffle.

Après quelques minutes, mon souffle revenu, je rejoignis Kristel à l’arrière de la voiture. Elle avait sorti les sangles pour attacher les vélos sur le toit. Après les avoir attachés, je décidais de briser le silence que nous partagions depuis qu’on s’était rejoints.

— Ben finalement, c’était une très bonne idée. Pour moi, en tout cas. Je peux maintenant disposer de toi jusqu’à dimanche soir, c’est bien ça ?
— Oui… C’est ce qu’on a dit, mais…
— Pas de « mais ». J’ai fait tout ce que tu as voulu tout à l’heure, ce n’est que justice. À ton tour maintenant !
— Oui, mais c’est peut être un peu long non ?
— Non. Viens là, approche-toi, et dis-moi : "tu peux faire tout ce que tu veux ...

... de moi jusqu’à dimanche."

Kristel s’approcha. Elle commença sa phrase, mais s’arrêta lorsqu’elle senti ma main remonter sa cuisse et lui caresser un globe fessier. J’entrepris alors de le malaxer doucement, en disant :

— Je n’ai pas entendu la fin.
— Tu peux faire de moi tout ce que tu veux jusqu’à dimanche soir.

Cet aveu d’impuissance murmuré me fit l’effet d’un coup de fouet. Je bandais de nouveau très fort et, comme le parking était désert, j’ai eu une idée de vengeance pour mon gage de tout à l’heure.

— Viens te mettre à genoux devant moi.

Kristel hésita un instant, puis vint se placer à un bon mètre de moi, à genoux sur les talons. Je m’approchai alors d’elle, jusqu’à ce que mes pieds soient quasiment contre ses genoux.

— Je ne t’ai pas dit de t’asseoir sur tes talons, redresse-toi. Grâce à toi, je n’ai rien sous mon short. Alors tu vas remonter lentement tes mains sur mes cuisses, les glisser dans mon short et me faire jouir. Applique-toi, tu ne quitteras ta position que lorsque tu m’auras fait jouir !

Kristel s’est exécutée, remontant lentement ses mains le long de mes cuisses, puis les joignant autour de mon sexe bandé. Lentement, elle fit des allers et venues sur mon sexe tandis que son autre main me caressait l’entrejambe et le haut des cuisses. J’ai rapidement joui dans mon short, et nous sommes rentrés dans la voiture sans échanger un mot.

Arrivés à mon appartement nous avons, toujours en silence, rangé les vélos dans le garage. Je possède ...