1. Professeur particulier (1)


    Datte: 06/01/2021, Catégories: Hétéro Auteur: Anonyme, Source: Xstory

    ... touché ma cuisse, le tissu de mon jean était imbibé d’un liquide collant. Puis, après un rapide coup d’œil vers la porte, je me suis penché pour attraper la culotte. Une petite culotte blanche, très sage, et très mouillée. Je me levais quand j’ai entendu frapper à la porte, et par réflexe, j’ai jeté le sous-vêtement d’Anna dans mon sac pour le cacher.
    
    — Ça a été ? m’a demandé sa mère qui entrait dans la pièce à petits pas.
    
    — Très bien, oui, ai-je réussi à répondre de la manière la plus neutre possible. Anna a des difficultés mais c’est une bonne élève, je n’ai aucun doute sur le fait que nos prochaines séances se passent aussi bien.
    
    Je me suis senti frémir à mes propres mots. Effectivement, si les prochaines séances étaient comme celles-ci, il y avait de grandes chances pour que cela se passe bien. Rangeant en vitesse mes affaires, je me suis éclipsé sans demander mon reste.
    
    Dehors, la chaleur était encore pire qu’à mon arrivée.
    
    °°°
    
    COURS N°3
    
    La semaine qui a suivi n’a pas été des plus simples à vivre. Je n’arrêtais pas de repenser à quel point j’avais été mené par le bout du nez par une jeune fille de dix-huit ans. Et à quel point ça m’avait plu. Je mentirais si je disais que j’avais laissé en paix sa petite culotte, que j’avais mise par inadvertance dans mon sac. Et d’ailleurs, plus j’y pensais, plus je me disais que je n’avais pas fait cela par inadvertance, mais que le temps d’une seconde, mon subconscient avait pris le relais.
    
    Plusieurs fois, ...
    ... j’avais sorti le sous-vêtement de mon sac. Je l’avais touché, je l’avais même porté à mon nez, un peu honteusement, mais je voulais connaître son odeur. J’ai pensé, une ou deux fois, à m’en servir pour mes plaisirs personnels, et puis j’ai renoncé. C’était une étape que je ne m’autorisais pas à franchir.
    
    Et puis le jeudi, en fin de journée, j’ai reçu un message d’un numéro que je ne connaissais pas. « Bonjour Monsieur ! » me disait simplement le message. Je devinais qui en était l’expéditeur, mais j’ai préféré demander confirmation. Quelques minutes plus tard, je recevais une réponse.
    
    « C’est Anna ! J’ai piqué votre numéro dans le téléphone de ma mère. Je vous écris parce que je voulais travailler le texte mais je crois que vous l’avez pris avec vous la dernière fois. Et au fait, vous avez pas pris ma culotte aussi ? »
    
    Le message se terminait par un emoji en clin d’œil, qui me laissait penser qu’elle connaissait très bien la réponse à sa question.
    
    « Oui c’est moi qui l’ai, ai-je répondu, je te prie de m’excuser, dans la précipitation je l’ai mise dans mon sac. Je te la ramène samedi. »
    
    « Oh gardez la, ai-je reçu dans la foulée. C’est un cadeau, parce que je vous aime bien. A samedi, Monsieur ! »
    
    Notre échange de SMS s’est arrêté là, et cette fois-ci je n’ai plus pu résister. J’ai attrapé la culotte sagement rangée dans mon sac, sorti mon sexe sagement rangé dans mon pantalon, et je me suis masturbé jusqu’à souiller le sous-vêtement. Honteux, j’ai jeté celui-ci ...
«12...4567»