1. Il avait un joli nom mon guide. Nathalie


    Datte: 06/01/2021, Catégories: fh, hh, fhh, hbi, couplus, cocus, vacances, piscine, sexshop, fsoumise, intermast, Oral pénétratio, fsodo, hsodo, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... déshabille pour essayer, son geste délicat pour ajuster une bretelle. Tout mon corps est en émoi. C’est fou ce que cet homme me fait de l’effet. Mais il ne me touche pas. Juste une lueur d’envie.
    
    J’adore le regard de Jean qui me questionne silencieusement à la sortie de la cabine. Mais non, chéri, ce n’est pas le genre de me baiser à la sauvette. Tout naturellement, nous invitons nos hôtes au restaurant pour les remercier de leur hospitalité.
    
    L’ambiance est décontractée, mais chacun imagine ce qui pourrait se passer. La présence de nombreux touristes et les tables voisines de la nôtre occupées nous empêchent d’être libres de nos paroles et de nos mouvements. Mais c’est encore meilleur. Chaque frôlement est une brûlure. Chaque regard est chargé de fantasmes.
    
    Sur le chemin de la voiture, Franck m’entraîne dans une ruelle. Une boutique. Boutique avec ses devantures obstruées et il faut pousser un rideau qui fait office de porte.
    
    Un autre monde. Jean est comme moi, sidéré par ce que nous voyons. Des revues, des livres, des objets, de la lingerie, des accessoires de toutes sortes. Un sex-shop. Je n’en avais jamais vu. J’en avais entendu parler, mais pas plus et mon mari ne devait pas en savoir plus. Nous déambulons un bon moment. Je ne savais pas que tout cela existait. La seule fois où, adolescente, une amie, m’avait montré la reproduction d’un sexe d’homme qu’elle avait piqué dans la table de nuit de ses parents, l’objet était en bois. Il m’avait sidéré par sa ...
    ... taille et je me souviens très bien de la douceur du bois poli, des couleurs, des veines et des énormes, enfin cela me semblait énorme, couilles. Dans cette boutique, il y a l’embarras du choix. Taille, forme, couleur, matière. Mais de nombreux objets me sont inconnus.
    
    Quelques marches conduisent à l’étage. Dès le palier, on entend des gémissements de femme. Là encore c’est un rideau qui sert de porte. Franck m’entraîne. Jean est juste derrière moi et Anne ferme la marche. On entre dans une salle sombre, et on ne peut manquer de découvrir l’écran sur lequel est projeté un film. Un film où une femme est prise en levrette par un grand blond musclé. C’est elle qui exprime son plaisir sous les coups de l’homme. La pièce est assez grande, parsemée de fauteuils, de poufs et même dans un coin un canapé. Mais la pièce semble vide. Pourtant Franck me montre du doigt un fauteuil où on devine une silhouette. De dos, c’est juste une tête. On avance silencieusement et on découvre un homme qui est manifestement en train de se branler. Il ne nous a pas vus ni entendus. Sur la table à côté de lui, un rouleau de Sopalin dont l’usage est évident. Quelle tristesse ! En plus il est jeune ! Mais d’une certaine façon je me reconnais en cet homme qui cherche son plaisir, même s’il est solitaire. C’est moi, il n’y a pas si longtemps !
    
    Solitaire ! Oui, mais Anne s’avance. Il la découvre et la surprise est évidente. Que peut-il penser en cet instant si intime, alors qu’une femme le regarde ? Mais le ...
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