Il avait un joli nom mon guide. Nathalie
Datte: 06/01/2021,
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Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... en l’espace de quelques heures, j’ai évolué.
Cela ne me choque pas de voir Jean s’astiquer la queue pour en extraire des flots de sperme qui maculent son torse et son ventre.
Cela ne me choque pas d’entendre ce bruit si caractéristique des chairs qui se heurtent, de ce ventre qui claque contre les fesses de mon mari.
Et que dire du bavardage de Franck, bavardage que l’on sent autant pour son amant que pour nous les voyeuses.
— Quel cul ! Il est étroit, presque vierge ! T’aimes cela, mon salaud, te faire mettre ? Tu la sens ma grosse bite ? Je vais te noyer ! Ah si ta femme te voyait !
Mais Jean ne répond pas. Il subit. Il reçoit.- Je viens ! Je viens !
Franck jouit. Il reste bien au fond de ce cul qu’il a défoncé avec ardeur. Quelques soubresauts et il s’immobilise. De longues secondes passent. Et puis il se retire. Pourtant il garde les jambes de mon mari haut perchées comme s’il attendait.
— J’adore voir un cul se refermer doucement et… voilà… mon foutre qui coule. Putain, c’est super !
Les deux hommes sont debout :
— Tu devrais en parler à ta femme.
— Oui, je devrais, mais j’ai peur.
— Tu as tort, ta femme semble être assez amoureuse pour tout entendre.
— C’est vrai. Tu as raison.
Lorsque nous « revenons » de notre balade, c’est comme si rien ne s’était passé. Juste un sourire complice de Franck. Le reste de l’après-midi et de la soirée s’écoulent tranquillement. Deux couples « classiques » qui bavardent. Mais tant de ...
... sous-entendus…
Plus tard, dans l’intimité de notre chambre, j’attends la confession de Jean. Pendant un moment j’ai bien cru qu’il allait m’avouer son penchant. Mais non. Pourtant il ne dort pas. Et puis, sans vraiment réfléchir, je lance :
— Tu aurais pu m’en parler.
— Parler de quoi ?
— À toi de voir.
— Je ne comprends pas.
Un silence s’installe. Tant de sous-entendus qui peuvent vite se transformer en malaises dans notre couple.
— Ton penchant pour les hommes.
Un sursaut à côté de moi.
— Quoi ? Que ?
— Je le sais.
Déjà il est vaincu.
— Qui t’en a parlé ?
— Personne, j’ai vu.
— Vu quoi ? Quand ?
— Tout à l’heure, avec Franck.
— Oh !
— Mais je ne juge pas, c’est juste que tu aurais dû m’en parler. C’est dur d’apprendre par les autres ce que son mari cache.
— Je suis désolé.
— Ce n’est pas tout.
— Quoi ?
— Je t’ai vu cette nuit avec Anne.
— Oh ! Décidément.
— Mais pour cela aussi je ne t’en veux pas.
— Je ne comprends pas. Comment peux-tu rester si indifférente. Tu n’es pas jalouse ?
— Je n’ai pas le droit d’être jalouse.
— Mais pourquoi.
— Par ce que, moi aussi j’ai fauté.
— Toi, mais avec qui et comment ?
Alors je me confesse. J’avoue à mon mari mon comportement depuis que nous sommes dans cette maison. Ce que j’ai vu dans la chambre de nos hôtes. Ce qu’ils m’ont fait faire juste avant qu’il ne me cherche la nuit d’avant. Ce plan pour que je découvre son penchant pour les hommes !
— Tu ne dois pas te sentir coupable. Ils t’ont manipulée, comme ...