Il avait un joli nom mon guide. Nathalie
Datte: 06/01/2021,
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Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... des caresses que de cette vision. C’est bon.
Mais Franck nous abandonne. Il fait les quelques pas qui le séparent de l’échelle et y monte. Il ruisselle, mais mon regard est tout de suite attiré vers son bas-ventre. J’y découvre le plus beau des cadeaux que l’on puisse faire à une femme. Un sexe en érection. Une érection uniquement déclenchée par l’envie. Pas d’attouchement, pas de caresses, non, Franck bande juste de m’avoir sucée.
Il est beau, grand, puissant et la main qu’il me tend fait de moi son esclave. Je me lève et, comme cet après-midi, il est mon guide. Mais nous n’allons pas loin. Un fauteuil nous arrête. Un fauteuil sur lequel il me pousse. Un fauteuil sur lequel il me fait mettre à genoux, les mains en appui sur le dossier. Il va me posséder ainsi, sous les yeux de mon mari, non pas en épouse qui se donne à un autre, mais en chienne que l’on prend par-derrière.
— Avance.
Je reconnais la voix de Franck, mais je ne comprends pas ce qu’il veut de moi. Je comprends seulement lorsque je le vois, à côté de moi. Sa verge est presque à ma portée. Je pourrais presque m’en saisir, mais c’est un autre qu’il invite.
— Suce-moi.
C’est à Jean qu’il s’adresse. Jean qui me jette un regard alors qu’il se penche pour obéir :
— Suce-moi bien. Montre à ta femme comme tu suces bien. Prépare-moi pour elle. Je vais la prendre sous tes yeux. Tu en as envie, hein ?
Franck a déjà la bouche pleine et c’est donc d’un mouvement des yeux, de la tête et d’un grognement ...
... qu’il confirme. Je l’avais vu sucer Franck, mais de bien plus loin. Là, c’est en Cinémascope, gros plan de lèvres qui enveloppent la tige. De lèvres qui coulissent en mouvement d’une fellation magistrale. C’est d’une force incroyable, d’une puissance érotique inimaginable. Mais ce qui est le plus troublant, ce sont les regards que nous échangeons.
Vice, perversité, dépravation, luxure, péché, stupre, débauche, licence, corruption des âmes… et bien d’autres mots que j’imagine dans la bouche de mon père, le pasteur, s’il me voyait ainsi.
Mais moi je pense : amour, sexualité, plaisir, jouissance.
Mais ce ne sont que des mots. En un regard, ils sont balayés et ce sont nos sens qui nous parlent. Jean suce. Jean pompe. Sa langue trace des sillons de salive sur la hampe. Quel effet cela lui fait-il de me voir si prêt à le regarder ? Cela l’excite, c’est évident. Et moi donc ! Avoir sous les yeux cette queue qui me paraît monstrueuse et qui m’a déjà possédée ainsi que mon mari. Par le cul ! Comment Jean a pu recevoir sans douleur ce monstre ?
Mais l’heure n’est plus aux questions. Franck repousse son suceur. Il disparaît à mes yeux. Soudain, je sens ses mains sur mes hanches.
— Regarde-bien comme je vais te la défoncer, ta petite femme. Tu la croyais innocente, c’est une chaude du cul. Mais toi, elle te croyait « classique » et tu t’es révélé bi. Quel couple. Regarde.
Je ne sais pas si Jean, que je ne vois plus, regarde, mais déjà je sens la queue aux portes de ma ...