Le mariage de ma meilleure amie - Histoires de Sexe

Le mariage de ma meilleure amie

... voir si je pouvais venir prendre une BD ?
— Mais bien sûr, c’est ta chambre ! (Ah oui, j’avais oublié de dire que j’occupe sa chambre, pendant qu’elle occupe la banquette-lit du bureau) Tu n’as pas besoin de me demander la permission.

Je m’efface pour la laisser entrer et je la laisse aller à sa bibliothèque. Je ne peux m’empêcher de la contempler, à la recherche de la BD qu’elle vient chercher. À un moment, elle semble avoir trouvé celle qu’elle veut : elle monte sur ses pointes de pieds et, tendant son bras, elle tente d’attraper un album, tout en haut. Bien sûr, son mouvement a pour effet de remonter sa nuisette sur ses fesses : je vous laisse imaginer la scène… Surtout que pour gagner quelques centimètres et garder son équilibre, elle se tient sur une jambe, écartant légèrement les cuisses… Comme elle n’y arrive pas, elle jette un œil sur la chaise du bureau, sur laquelle j’ai posé ma valise. Mince !

— Tu pourrais me donner un coup de main ? me fait-elle, avec un petit sourire coquin.
— Bien sûr ! fis-je en me rapprochant de la bibliothèque. Laquelle veux-tu ?
— La troisième.

Je tends le bras, prends la troisième BD et regarde la couverture : un Manara !

— Tenez, petite coquine !
— Merci ! me dit-elle, en se redressant sur ses pointes de pieds pour déposer une bise sur ma joue.

Autant être franc : le contact de sa poitrine contre la mienne est aussi un beau remerciement ! J’aurais tant voulu arrêter le temps, à cet instant… Mais déjà elle s’éloigne ...

... vers la porte. Elle pose à peine la main sur la poignée, qu’elle se retourne et me lance, d’un sourire coquin :

— Dis… C’est moi qui te mets dans cet état ?

… en montrant la bosse évidente, qui pointe dans mon pantalon de pyjama.

Effectivement, entre Mathilde et le petit spectacle d’Elizabeth, je n’avais pas débandé !

— Hem… Euh, en fait… Je lisais justement la BD que tu as dans les mains… Et je me suis dépêché de la ranger quand tu es venue frapper à la porte… Et, euh… Ta nuisette est… un peu… transparente.

Elle me lance un petit regard coquin.

— Je plaide coupable ! J’espérais te faire un petit effet et… j’ai réussi ! Il faut que je me fasse pardonner…

En terminant sa phrase, elle tourne la clé dans la serrure.

— Comme ça, si quelqu’un vient, j’aurais le temps d’aller me planquer dans la salle de bain !

En moi-même, je n’ose même pas imaginer ce qu’il s’y passerait, si cela devait arriver !

— Assieds-toi sur le bord du lit.

Comme hypnotisé, sans résistance, j’obéis. Après avoir posé la BD sur un meuble, elle s’approche de moi, les mains dans le dos, avec un petit sourire malicieux aux lèvres. S’agenouillant devant moi, elle saisit mon pantalon et me le retire doucement : au dernier moment, mon sexe surgit, comme un diable de sa boîte ! Les doigts d’Elizabeth le caressent, massent les bourses ; puis, approchant sa bouche elle commence à me sucer. Je dois avouer qu’elle me procure rapidement un plaisir que je n’avais jamais connu ! Je n’arrive ...