COLLECTION ZONE ROUGE. Voyage en Italie (1/2)
Datte: 05/01/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Je venais de sortir de l’adolescence quand Pedro est venu habiter dans la maison voisine de celle de mes parents, j’étais une jolie petite blonde aux yeux bleus avec des petits seins qui commençaient à poindre.
Dans ma vie un seul souci, mon père, j’étais de plus en plus souvent en conflit avec lui, maman faisait le tampon, mais certaines fois, c’était tendu, présageant le crash fatal.
Depuis quelques mois, un voisin s’était installé dans une maison qu’il louait, il roulait dans une magnifique voiture de sport dont je suis dans l’incapacité de dire la marque ou sa puissance.
Il me croisait, me saluait et nos rapports se bornaient à cela.
Un jour, je me suis pris avec mon père qui m’a une nouvelle fois pris la tête, j’ai voulu lui donner une leçon et sans qu’il le voie, j’ai fait une petite valise, j’ai pris l’argent liquide, mon livret de caisse d’épargne et je suis sortie sans qu’il ne le soupçonne, regardant la télévision dans le salon.
J’ai fait attention à éviter de claquer la porte d’entrée, je suis parti vers la route pour faire du stop, rapidement une voiture s’est arrêtée.
• Jennifer, je crois que tu t’appelles Jennifer, tu me reconnais, je te salue chaque fois que je te vois, je suis ton voisin.
Incroyable, je fais du stop et c’est la voiture dont je rêve, conduite par le bel homme d’une trentaine d'années aux cheveux poivre et sel, toujours bronzé, d’une façon permanente, comme si nous étions en été, qui la conduit.
• Je vois que tu as une ...
... valise, tu pars en vacances !
• Non, je pars à l’aventure, mon père me prend la tête alors je me suis barrée.
• Je partais en Italie chez des amis, je t’emmène, partir à l’aventure pour une jeune fille cela doit être excitant.
C’est comme cela qu’il a pris ma valise pour la mettre dans son coffre et que je suis monté à ses côtés.
La nuit tombait, nous avons pris l’autoroute, j’avais l’impression d’être une princesse roulant dans son carrosse.
La direction de l’Italie se rapprochait sans que je n’aie vu le temps passer.
• Tu connais mon nom !
• Oui, le facteur est venu pour nous demander si Pedro était parti pour longtemps l’autre jour, car cela faisait deux fois qu’il passait.
• À oui, c’était lors de mon dernier déplacement en Italie, je suis fatigué, je connais un hôtel sympa, je t’offre une chambre.
C’est comme cela que je me suis retrouvée dans une chambre toujours aussi belle que celle que peut avoir une princesse, Pedro m’a ouvert, a déposé ma valise et est parti dans la chambre voisine.
Nous sommes allées manger au bord de mer dans un restaurant aussi classe que l’hôtel avant qu’il ne me raccompagne, seul geste qui aurait pu me rendre suspicieuse, il m’a pris la main comme si nous étions des amies de longue date.
Je dois reconnaître que j’étais un peu pompette, car il m’a fait boire un verre de vin italien.
Arrivé devant ma chambre, il m’a baisé la main et est parti me frustrant, car je croyais bien que j’avais trouvé un homme digne de ...