Exhibition en famille (4) - Histoires de Sexe

Exhibition en famille (4)

... les filmer. Elles se sont alors embrassées longuement en frottant leurs seins l’une contre l’autre avant enfin d’échanger leurs impressions, c’est Mylène qui intervient la première :

— C’est incroyable le pied que j’ai pris. J’ai enchaîné orgasme sur orgasme. Je ne regrette pas d’avoir mal au cul maintenant ni d’avoir la chatte toujours en feu. Tiens touche ! Et la tienne voyons !

- Moi aussi j’ai joui comme jamais. Finalement, tu avais raison, c’est meilleur de laisser les mecs se vider en toi pour lubrifier le passage pour le suivant. Et surtout, c’est super de sentir leur jouissance monter et leur soubresaut qui suivent. Tu sens, je crois que j’ai encore du foutre qui suinte ?

- T’es vraiment une belle salope toi aussi. Jamais je n’aurais pu imaginer un jour que ma sœur me doigte le vagin pour sucer ensuite ses doigts maculés du foutre qui m’a rempli.

- C’est sûr que dans ce bahut, j’ai participé très tôt à des partouzes. La première fois qu’ils m’ont obligée à me mettre à poil et à lécher une fille devant toute la classe, j’étais plus gênée qu’excitée, tu sais !

— C’est dommage que nous n’ayons jamais eu l’occasion à cette époque de discuter de nos relations intimes. Maman nous avait éduqués trop chastement, tu ne le regrettes pas toi aussi ?

- Si bien sûr, car si j’avais su que tu pouvais être aussi ouverte d’esprit et du cul que moi, nous aurions pu avoir des aventures ensemble plus tôt.

- Oui d’autant que mon mari avait le béguin pour toi, je ...

... crois ?

- Oui je l’ai remarqué et j’en ai joué en l’aguichant très souvent. Tu aurais été prête à le partager avec moi dans tes premières années de mariage ?

- Non du tout, car j’étais jalouse à cette époque-là et n’avais connu qu’un autre mec avant, celui qui m’a dépucelée sans me faire vraiment jouir d’ailleurs !

- Dommage car il me plaisait bien déjà et je te l’aurai bien emprunté. Tu sais qu’il me caressait sur le canapé pendant qu’il te baisait sur le matelas posé au sol, lorsque les Pivert sont venus à la maison.

- Ah oui je me souviens maintenant que le matin tu te masturbais ouvertement en ayant repoussé tes draps au fond du lit !

- Cela m’excitait beaucoup de vous savoir à côté en train de me mater à poil. D’ailleurs c’était la première fois que je t’ai vue nue avec ton minou aussi fourni que le mien à cette époque.

- Confidence pour confidence, j’allais mettre ma robe de chambre quand je t’ai vue te masturber, cela m’a excitée au point que j’ai voulu rester nue un moment à t’observer en me caressant à mon tour, alors que j’avais encore la chatte qui suintait de foutre en étant debout à t’observer !

- S’il n’y avait pas eu ton mari dans la pièce, tu serais allée jusqu’à te coucher à mes côtés pour que l’on se caresse ensemble ?

- Non, avec toujours ce carcan de notre éducation maternelle, je ne t’aurai jamais touché, ni te laisser le faire, mais j’aurai probablement continué de m’exhiber en te regardant ! J’avais sans doute en moi déjà ce goût pour ...