Saint Valentin - Histoires de Sexe

Saint Valentin

... d’obliger Alain (ou Marc… ou les deux !) à prendre les devants. Laissons faire les choses…

— Chéri, vous êtes au whisky mais moi je boirais bien une goutte de champagne,

C’est tout de même la Saint-Valentin !

— Généralement d’ailleurs c’est Valentin qui sert sa Valentine ! dis-je avec mon plus beau sourire.

Alain se redressa rapidement et partit vers la cuisine tandis que je me laissais aller un peu plus en arrière dans le canapé, sans m’apercevoir (?) que mon geste faisait remonter le bas de ma robe, découvrant cette fois largement mes cuisses, bien au-delà du bandeau de dentelle de mes bas. J’ai adressé un sourire innocent à Marc lorsque j’ai croisé son regard.

— Alain m’a dit que vous parliez souvent ensemble au bureau et que vous aviez très envie de faire ma connaissance… Dois-je prendre ceci comme un compliment ? Et maintenant que vous m’avez vue en chair et en os, vous êtes satisfait ?
— On le serait à moins répondit-il, vous êtes vraiment une femme charmante. Alain a beaucoup de chance… Je suis en effet ravi d’avoir fait votre connaissance !

En disant ces quelques phrases anodines, son regard courait sur moi, de mon visage à mes jambes maintenant largement dénudées. À première vue, son état était loin de s’améliorer, je sentis monter en moi une excitation nouvelle à me sentir ainsi admirée, désirée… J’imaginais déjà ses mains, ses lèvres sur ma peau, mes seins, mes jambes, mon ventre… J’avais désormais envie de me laisser caresser, dévorer et bien ...

... plus encore ! Mais aussi envie de découvrir la réalité de cette bosse qui ornait son pantalon, y poser les doigts, peut-être mes lèvres pour déguster cette belle tige de chair tendue par son désir de moi. Un feu sournois montait lentement dans mon ventre, mes seins durcissaient, leurs pointes dressées devaient trahir mes envies, pointant orgueilleusement sous le tissu de ma robe.

Marc me dévorait du regard, j’aurais volontiers succombé sous les caresses mais je ne désirais pas faire le premier pas. Je voulais d’abord connaître les intentions de mon mari, s’il n’y avait rien de prémédité ou si les deux complices avaient monté un scénario particulier. La tension tomba avec le retour d’Alain, tenant d’une main une bouteille de champagne, de l’autre trois flûtes. Il remplit rapidement les trois verres, m’en tendit un, un second à Marc puis, levant le sien s’exclama en riant :

— Buvons à la beauté de celle qui est pour moi, pour nous (?) la plus belle, la plus attirante, la plus sensuelle des Valentine…! Es-tu de mon avis Marc ? Kris est-elle au moins aussi belle que sur la photo que tu ne cesses d’admirer sur mon bureau ?
— Tout à fait ! Pire encore, répondit Marc, bien plus belle, plus vivante, plus souriante, plus attirante encore… Ah quel dommage que Kris soit ton épouse ! Je me serais volontiers laissé aller à lui faire une cour effrénée pour tenter de la faire tomber dans mes bras !
— Dans tes bras ? ajouta Alain, Menteur ! Tu aurais été capable de la faire tomber dans ...