Sissy de soirée
Datte: 04/01/2021,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Kirgu, Source: Hds
... bien ta nouvelle petite recrue, mon Chéri.
Comme d’habitude quel choix judicieux, tu as fait, on va une fois de plus étonner et régaler nos invités avec une travestie »
J’étais d’un coup psychiquement et physiquement totalement libéré et étonnamment disponible, désormais prêt à tout ou presque et avec un brin d’inquiétude quand même, mais décidé.
« Eh bien comme tu entends, tu peux te vanter de plaire déjà à ma femme. Je sens que tu vas être exhaussée au delà de toutes tes envies ». « Chanceuse va ! » ajouta le Comte, au genre féminin désormais.
Ça y était, j’étais sur la voie des plaisirs imaginés, ceux dont je rêvais d’être un jour l’objet principal. J’étais serein voir impatient de m’offrir et désireux de satisfaire aux ordres et élucubrations sexuelles des participants de toute nature.
Nous rentrâmes dans une propriété ceins de murs, la voiture franchit un portail et s’engagea sur un chemin en terre battue qui menait au perron d’un petit château. Le Comte arrêta la voiture au bord d’un escalier monumental et me dit : » descends ma belle puisque maintenant tu as choisi ton genre, monte les marches, entre, tu es attendue dans le vestibule. Je te retrouve tout à l’heure »
Descendu et seul dans la nuit éclairée par une lune blafarde je montais les marches de l’escalier, arrivais à une porte massive que je poussais, repoussais des rideaux épais et me retrouvais dans un vestibule hexagonal tendu de velours rouge en alternance avec des glaces en pied. J’étais ...
... là depuis 2 ou 3 minutes aveuglé par une lumière pointée sur moi, j’entendis une voix de jeune femme qui me dit
« Bonsoir, je suis la camériste de la Comtesse et je vais être ton chaperon pour la nuit, mets toi nu et range tous tes vêtements dans ce placard »
Elle avait ouvert en effet derrière elle un placard dérobé et me demanda, en même temps que je me déshabillais, de lui apporter une boîte déposée à l’intérieur qui m’était destinée,
Une fois nu, toujours sous un spot aveuglant, je tendis vers la voix la boîte que j’avais trouvée. Elle me prit la main et m’attira alors à elle et je découvris en sortant du faisceau lumineux une jeune femme nue dans une combinaison en résille, ouverte aux seins, sexe et fesses. Une tenue du plus bel effet en tous cas sur moi.
Elle ouvrit la boîte et en sortit, me précisa t-elle, « la marque de ma nouvelle condition et de ma disponibilité assumée » C’était un nœud papillon attaché sur un collier de cuir noir qu’elle m’accrocha bien serré autour du cou.
Je portais donc déjà les attributs de l’extra et du soumis.
Elle ouvrit alors une porte dérobée et me poussa devant elle dans un salon spacieux où se trouvaient des fauteuils et des sofas, des tables basses et 2 ou 3 petites estrades réparties de ci de là. Un salon où pouvait entrer et s’installer dans le plus grand confort une bonne quarantaine de personnes. La piste aux ébats à venir assurément.
Elle me conduisit à une femme superbe d’une quarantaine d’année qui était ...