1. Une soirée torride


    Datte: 03/01/2021, Catégories: fh, ff, fff, grp, fsoumise, hdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation intermast, Oral 69, double, fsodo, Partouze / Groupe sm, Auteur: Domibec, Source: Revebebe

    ... Léon, tous les deux un verre à la main et une assiette pleine sur les genoux. Debout, Marc, Luc, Christine et Catherine discutent. Les sexes de ces messieurs retrouvent aussi une certaine vigueur et sont à l’horizontale. Personne ne fait attention à elles trois. Elles vont se servir à la grande table et viennent s’asseoir sur le canapé qui a servi aux ébats tout à l’heure et qui est resté libre, Léa entre les deux jeunes filles.
    
    — Dis donc, Éléonore, ta perle sur la langue fait des ravages quand tu fais cunni.
    — Oui, je sais. Madame Mathilde adore ça.
    — Madame Mathilde ! Comment ça se fait qu’une jeune fille comme toi soit avec une femme comme elle ?
    — Et Anne avec Wilfried ? Et même toi avec lui ? Et Zoé avec le gros et affreux Léon ?
    — Oui, d’accord. Mais…
    — Ce serait trop long à te raconter et ce n’est pas le moment. Mais j’étais à la dérive, à la rue, devenue un jouet sexuel pour des garçons. Et, j’ai pas envie de dire comment, elle m’a recueillie, redonné confiance en moi et fait retrouver le chemin des plaisirs que je peux tirer de mon corps. Elle est très gentille et je l’aime beaucoup. Et elle me laisse libre de partir quand je veux.
    — C’est vrai qu’elle a l’air gentille. Tu fais quoi dans la vie ?
    — Des études de philosophie.
    — Et toi Anne ? Tu es arrivée comment dans les bras de cet homme ?
    — J’étais aussi paumée. Pour me faire de l’argent, j’allais dans une boîte de nuit pour danser et faire du strip-tease… Et après, quand il ne nous restait que le ...
    ... string, on devait accepter, moyennant finance, de danser avec des hommes qui nous invitaient. Mais ils n’avaient pas le droit de toucher à ce qui restait caché. Et un jour, il m’a invitée. Ça aurait pu être un autre. En dansant, il me parlait d’autre chose que de mes seins et de mon cul. Il me posait des questions sur ma vie, mes études. Il s’intéressait à moi. Et puis on s’est retrouvé un autre soir. Et là, il m’a attendue à la sortie. On a été boire un verre. On parlait. Jamais de sexe. J’avais de l’affection pour lui. Un jour, je lui ai dit que j’aimerais qu’il soit mon père ou une connerie comme ça, que j’aimerais vivre avec lui… Il m’a dit que je serais malheureuse, qu’il avait plusieurs femmes qui lui étaient soumises. Comme j’étais curieuse, que je lui avais dit que je voulais savoir plus, un jour il m’a proposé un week-end. Comme toi tu vis là, Léa. C’était pas forcément le même programme mais comme toi j’ai dû surmonter la honte, d’être humiliée, d’être parfois considérée comme un objet. Mais il était là, solide, tendre, jamais vulgaire. Alors j’étais rassurée et j’ai aimé et j’ai continué à le voir de temps en temps. Mais il ne m’empêche pas de partir voir ailleurs. Mais quand je suis avec lui, je lui suis soumise. Et j’aime ça. Voilà.
    — Qu’est-ce que tu as eu comme épreuve le premier week-end ?
    — Il m’a fait promettre de ne rien te dire.
    
    Pendant qu’elles parlaient, Wilfried avait lâché Zoé et s’occupait de Christine. Léa observa qu’il bandait à nouveau et que ...