1. Le sceptre de la Reine des Amazones


    Datte: 03/01/2021, Catégories: fh, ff, Masturbation Oral pénétratio, fsodo, Humour aventure, Auteur: Manuel, Source: Revebebe

    ... nous, acquiesce Nigel. Le professeur Tzakis vous envoie ?
    — Eh bien non. Je suis le professeur Tzakis en personne.
    — Enchantée, professeur, se réjouit Sydney. Prenez place et mettons en commun ce que nous savons.
    — Appelez-moi Tali, je vous en prie. C’est à moi que revient l’honneur de converser avec une archéologue aussi célèbre que vous.
    — Très bien, Tali. Nous avons hâte d’en savoir davantage sur vos recherches.
    — Et moi de même au sujet de votre déchiffrage…
    
    Tali pose une mallette à plat sur ses genoux et décrit par le détail ses dernières découvertes, effectuées en compagnie de son élève et assistante, Anna Billedou. Partis sur un chantier archéologique au nord de Sivas, une ville turque à l’est de la capitale Ankara, leurs fouilles ont rapidement confirmé qu’ils se trouvaient au cœur d’un antique camp amazone. Manifestement, le lieu avait été pillé et incendié. Aucun ossement ne fut retrouvé, mais une petite stèle indiquait que certaines Amazones étaient revenues sur place par la suite pour honorer le lieu où leur reine avait succombé.
    
    — La fin du texte de cette stèle, que je vous ai fait parvenir, est pour moi un mystère. L’écriture n’est plus celle du royaume perse.
    — La solution est plus simple que vous ne l’imaginez, explique Nigel. Clitemnis devait être d’origine hittite, et non perse. Un message lui a été spécialement adressé dans cette langue et il s’avère qu’il indique le lieu où elle est inhumée. Le long d’un fleuve, dans une région montagneuse. Ce ...
    ... n’est pas ce qui manque en Turquie, mais nous n’avons aucune autre précision.
    — Voilà qui est remarquable ! s’exclame Tali Tzakis. Un dernier indice va peut-être nous donner la clef de l’énigme… Connaissez-vous les origines du peuple amazone ? Relativement mal ?
    
    Sydney et Nigel reconnaissent tacitement d’un hochement de tête que leur science en ce domaine est perfectible. Le professeur grec poursuit donc :
    
    — La première reine, Esbiana, eut un amant unique avant de dénigrer la compagnie de tous les autres hommes et de rallier à sa cause toutes celles qui pensaient comme elles. Mais, ce que peu de gens savent, c’est qu’elle prit soin de confectionner un moulage d’une partie du corps de son époux tandis qu’il vivait encore. À sa mort, elle fit faire une sculpture unique à partir du moulage.
    — Comment se nommait l’époux de la reine Esbiana ? s’enquiert Sydney.
    — Olisbos, rétorque Tali, en ouvrant sa mallette. Voici la sculpture : le sceptre de la reine des Amazones.
    
    L’objet, particulièrement bien conservé, est frappant de vérité. C’est un volumineux sexe masculin d’ivoire sur lequel sont détaillés les moindres replis de peau où les veines semblent battre encore et la chaleur irradier. Sydney et Nigel sont stupéfaits.
    
    — Voyez-vous, poursuit Tali, chaque nouvelle Amazone, à son arrivée dans la tribu, était déflorée par ce sceptre, symbole de leur attachement à leur reine et à Olisbos, le seul mâle qu’elles connaîtraient de leur vie.
    
    Tali tend le sceptre à Sydney. ...
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