1. Douceur maternelle (1)


    Datte: 29/04/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: Nova4, Source: Xstory

    J’ai toujours été attirée par les hommes. Cela n’a jamais fait aucun doute pour moi, je suis hétéro. Et j’ai de la chance, j’ai du succès avec les hommes. J’ai 25 ans, et je profite d’être une jolie petite rouquine pour arriver à mes fins. Toutefois, en ce moment, je suis célibataire. J’ai eu besoin de prendre un peu de distance ; le boulot, les rencontres, les amis, les loisirs... difficile de tout gérer en même temps. L’été approchant, je n’avais toujours pas de plan pour les vacances. Donc quand ma mère m’a proposé de venir prendre du repos dans sa maison de campagne, j’ai fini par dire oui, faute de mieux. Évidemment, ce n’est qu’après une semaine de solitude que j’ai réalisé que ces vacances étaient un peu monotone. Certes, ma mère possédait une jolie maison, isolée en bordure de forêt, ce qui était idéal pour le calme et les promenades, mais je m’ennuyais un peu. J’avais, heureusement, la jouissance de la piscine, rafraîchissante en cette période de canicule.
    
    Un après-midi, tandis que je bronzais sur un transat, ma mère me proposa donc d’aller me baigner, et j’acceptais car le soleil tapait fort. Vêtue d’un simple maillot deux pièces noir, j’entrais avec soulagement dans l’eau fraîche, suivie par ma mère.
    
    "Elle est bonne non ?" me demanda-t-elle
    
    Je me retournais pour lui répondre, mais avant que je puisse ouvrir la bouche, j’eus comme un énorme coup de soleil soudain : pour la première fois, je regardais ma mère sous un oeil nouveau, et je n’arrivais pas à ...
    ... me défaire des pensées qui tempêtaient dans mon crâne. Ma mère avait alors la cinquantaine, une femme à la peau mate, aux cheveux sombres, plutôt mince, mais dotée d’une belle poitrine, retenue par un bandeau. L’eau était fraîche, et je devinais ses tétons dressés à travers le tissu. Malgré l’eau froide, je sentais mon bas ventre se réchauffer. Je tentais de me reprendre, mais ma mère se rapprochait de moi, sans doute amusée de me voir bégayer.
    
    "Ma chérie, tu as dû prendre chaud, tu es toute rouge", rit-elle
    
    "Oui maman, sans doute", dis-je en tâchant de cacher mon embarras.
    
    Nous nageâmes en silence quelques minutes. J’avais un mal fou à ne pas laisser traîner mon regard sur son corps. Heureusement, rapidement ma mère se lassa, et me dit qu’elle retournait se laisser sécher sur son transat. Je passais les quinze minutes suivantes à nager en me concentrant sur mes mouvements.
    
    Je sortis à mon tour de la piscine, et retournait sur la terrasse, où m’attendait un magnifique spectacle. Ma mère était allongée sur le dos sur son transat, entièrement nue, son maillot de bain roulé en boule par terre sur les dalles. Sa peau humide luisait des rayons du soleil, et je me sentis de nouveau extrêmement excitée. Ma mère m’entendit arriver.
    
    "Ma chérie, j’espère que cela ne te gène pas, j’avais vraiment envie de faire disparaître mes marques de bronzage, mais si tu pouvais aller chercher la crème solaire quand même, parce que sinon je attraper des coups de soleil à des endroits ...
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