Ma Justine (4) - Histoires de Sexe

Ma Justine (4)

... travaille et ma sœur a cours »

« Parfait ! Je passe à 14h. Tu porteras ta nouvelle tenue, sans soutien-gorge et des talons. Tu m’attendras à genoux et les yeux bander ! Et j’ai d’autres cadeaux pour toi. »

« A toute à l’heure Maître… Je suis impatiente ;) » répondit-elle.

Vers midi je pris un petit repas et à 13h30 je démarrais ma voiture et me rendis chez ma soumise, en emportant dans mon sac à dos mes nouveaux accessoires. A 13h58 j’étais devant chez elle et il n’y avait pas de voiture devant la maison, signe que sa mère était bel et bien absente. J’entrais sa frapper, montais les escaliers et poussait la porte de sa chambre.

Elle était là, à genoux et les yeux bandés portant sa tenue de soubrette comme je le lui avais demandé. Je poussais la porte sans la fermer totalement et m’approchai d’elle. Je tournais autour d’elle tout en lui caressant les cheveux. Je la fis se lever et je constatais avec bonheur qu’elle était magnifique dans cet accoutrement. Sa tenue était composée d’un bustier noir à bretelles et avec des dentelles qui soulignaient parfaitement sa poitrine. Un joli tablier noir rehaussé de dentelle habillait ses hanches. Le tablier était noué par un gros nœud blanc retombant sur ses fesses. D’ailleurs le tablier n’était pas assez large pour couvrir ses fesses que l’on pouvait distinguer clairement. Elle portait également un string noir et des manchettes noires ornées de dentelle blanche.

Je lui fis une caresse furtive sur les fesses, elle ...

... frissonna légèrement puis je me mis face à elle pour prononcer mes premières paroles :

- Tu es très belle dans cette tenue, vraiment très sexy.

- Merci, merci mon Maître, répondit Justine.

- Habillée en parfaite salope, lui fis-je.

Elle se mordit la lèvre inférieure. Je me penchai vers elle et l’embrassai. Elle me rendit mon baiser avec passion. Je posai mes mains sur ses fesses et les malaxa délicatement. Quant à Justine, elle me caressa le ventre puis essaya de passer sa main au travers de mon pantalon. Je lui saisis le poignet :

- Pas si vite petite coquine.

- J’ai envie de toucher ton sexe, répondit-elle, frustrée. J’ai envie de le sentir, de le sentir en moi !

Cette salope semblait terriblement excitée et je ne me fis pas prier pour le lui faire remarquer :

- T’es vraiment une chienne en chaleur toi !

- Oui, mais je suis ta chienne en chaleur, répondit-elle avec un léger sourire.

Elle m’excitait de plus en plus et moi aussi j’avais envie de la posséder. Je pris mon sac qui était posé sur le sol et en sorti quelques-uns de mes accessoires coquins.

- Mets tes mains dans le dos et redresse ton menton, ordonnais-je à Justine.

Elle s’exécuta sans rechigner, ce fut alors l’occasion pour moi de lui attacher les poignets avec les menottes en cuir et de lui passer sa laisse autour du cou.

- Voila ! Maintenant tu es une vraie chienne, allez à genoux !

Justine obéit et se mis en position. Quant à moi je retirais mon t-shirt et mon pantalon.

- ...