1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1058)


    Datte: 29/04/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    La Comtesse esclave - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite de l'épisode N°1056) -
    
    La Comtesse était vaincue… Je devins esclave. Les huit jours de punition étaient terminés. J’étais passée par la salle de bains où je fis la connaissance d’autres esclaves, des deux sexes et aussi jeunes que moi, qui, une fois ma surprise passée et après que certaines esclaves femelles m’ayant dit de ne rien dire, s’occupèrent de moi.
    
    - On n’a pas le droit de parler me disaient-elles ! Sauf le minimum mais tu t’y feras.
    
    Elles semblaient gentilles, douces et heureuses de leur sort. Elles me lavèrent complètement, me crémèrent, me maquillèrent, me parfumèrent… Mon corps fut enduit d’une crème parfumée.
    
    - Tu as été bien marquée, dit à voix basse l’une d’entre elles. Les crèmes que je te passe atténueront rapidement les marques. Ne restera que la douleur…
    
    - Tu vas revoir le Maître, me dirent-elles puis elles disparurent.
    
    - Maintenant viens avec nous, d’autres esclaves vont t’habiller !
    
    Effectivement, après avoir suivi les deux esclaves, j’entrais dans une autre pièce, sorte de dressing, dans laquelle une autre esclave, plus âgée se tenait au milieu de cintres, de vêtements, de parures, de paires de chaussures en tous genres, etc… Après avoir pris mes mensurations (95/36/95), elle me passa une guêpière qu’elle laça sans ménagement. Ma taille déjà fine, s’affina encore plus, ce qui fit ressortir mon fessier, pourtant bien en vue ...
    ... habituellement. Mes seins reposaient sur un présentoir, tandis que par les attaches pendantes, elle accrochait la paire de bas qu’elle m’avait aidée à enfiler. Des chaussures à talons très hauts me furent tendues et après avoir revêtu la parure, elle me passa un collier fait d’or et de pierres précieuses sur lequel était gravées en lettres finement ciselées ‘’MDE’’ (pour Marquis d’Evans), lettres qui brillaient de mille éclats.
    
    - Regarde-toi dans la glace, me dit l’habilleuse !
    
    Avec les marques qui ornaient mon corps, la parure de bijoux, la tenue vestimentaire, j’avoue avoir eu un choc, mais ce choc me fit ressentir tout de suite la fameuse boule excitante en bas du ventre. Toutes mes intimités étaient accessibles. J’étais la fois, habillée et nue… J’étais devenue la chose du Maître… Et j’en savourai une excitation physique évidente… Je mouillais donc de me voir ainsi dans ce grand miroir digne des contes de fées. Monsieur le Marquis, averti, me fit venir dans son luxueux bureau. Droite devant Lui, jambes très écartées, mains le long du corps mais les paumes tournées vers Lui en signe d’offrande, très marquées sur tout le corps, j’entrais suivant Walter, le Majordome, tête droite mais yeux baissés.
    
    - Ah ! Ma chienne préférée ! Sais-tu que par ton entêtement, j’ai du te placer au Cachot ! J’ose espérer que tu y as été… disons… bien traitée ! Cependant, par ta faute à me tenir tête à me désobéir, tu as manqué à la Cour et, plus grave encore, tu as manqué au Maître. Je considère ...
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