1. AU BORD U LAC 5/8


    Datte: 02/01/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Poesexe, Source: Hds

    ... lisses, dans le ronronnement du V6. L’étrave se dirigea vers moi, et le in-board, vint s’accoter au ponton, stoppé par une inversion de l’hélice, d’une main de maître par Océane,
    
    Je sautais à l’intérieur, tendu de cuir blanc, et m’assis sur le siège passager, à la gauche d’Océane. Le moteur ronronna et l’embarcation fit demi-tour vers le large, à petit vitesse.
    
    Sur le matelas de bronzage, à l’arrière, une longue fille brune, cheveux, mi-longs, à la peau claire, vétue d’un bikini rouge, tourna la tête vers moi quand Océane la présenta :
    
    « Je te présente, Chrystelle. Elle est en stage chez nous. Chrystelle, voici Steve, un copain »
    
    « Enchanté » emis-je, très original
    
    «Je vous ai déjà vu, à l’auberge » dit elle. Et elle me fit un geste de la main, sa bouche pulpeuse mimant un baiser ; après quoi, elle se détourna et se mit à plat ventre.
    
    En s’éloignant du bord, Océane, enleva son tee-shirt qu’elle posa sur le tableau de bord.
    
    Campée sur ses deux jambes, légèrement écartées, vétue d’un slip de bain,noir, qui tenait par deux ficelles nouées sur ses hanches, les deux mains sur le volant, ses cheveux flottant au vent, elle avait une allure folle. Elle n’avait pas la silhouette éthérée des mannequins de mode, mais plutôt une allure de sportive, au corps musclé mais svelte, aux cuisses pleines, au fessier rebondi et haut, au ventre plat, aux seins bruns et fermes aux pointes arrogantes.
    
    Son profil au port altier, menton bien dessiné, pommettes saillantes, ...
    ... sous des yeux en amandes défiait le vent, les lèvres charnues serrées sous son nez en trompette. Sortis de la zone limitée, elle mit les gaz, et la coque s’arracha à l’eau, le nez se releva, et le sillon d’écume se creusa sou s la poussée du puissant moteur. Le bateau, déjaugé, filait en tapant sur le léger clapot, décrivant des arabesques blanches sur le bleu sombre du lac, au gré des changements de direction. Elle contourna un ilot pour foncer vers le pont menant à l’ile principale, coupa les gaz au dernier moment, juste assez pour que l’étrave retombe dans l’eau, aplatissant la coque pour passer sous l’obstacle, avant de réaccélerer pour traverser ce deuxième bassin à toute vitesse, et de s’engager dans un dédale de vallées inondées, glissant sur l’onde, et virant au gré des méandres des ces vallées. Obliquant à gauche dans un dernier bras qui s’étirait en longueur, elle ralentit progressivement, pour finir par stopper et arrêter les moteurs. Elle sauta ensuite sur le pont avant et lança une ancre flottante à l’eau.
    
    Debout sur le pont immaculé, elle se tourna vers moi
    
    « Toi qui me mates depuis le départ, profites-en , ça ne sera pas tous les jours fête ! »
    
    Elle tira sur les ficelles de son slip, et le bout de tissu libéré, chut sur le pont, dévoilant une toison brune fournie, mais soigneusement taillée, qui encadrait sa fente. Puis elle se retourna, livrant à mon regard son côté pile intégralement bronzé, et ses fesse charnues, avant de plonger dans le lac et de ...
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