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Monsieur de Nuelles
Datte: 02/01/2021, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: FED ERIC, Source: Hds
Je faisais partie de ceux qui se lavaient et n'avaient pas peur des humeurs qui pourraient pénétrer par la peau dans l'eau. J'ai appris de Monseigneur que certaines dames de hautes noblessse ne se lavaient pas les main de tout un mois! Diable, comment ne pas être malade. Je faisais de gros progrès dans l'art de l'escrime. Mon professeur , maître d'arme des armées du roi ne trouvaient pas mon art de tirer élégant mais efficace. En effet depuis tout gamin Je chassais les vipères dans les rochers avec un jonc de noisetier et je loupais rarement mon coup.Frappant d'apès lui plus d'estoc que de pointe ce qu'il m'a moult reproché. Monsieur pour toucher il ne faut pas frapper mais jouer de la pointe. Il disait cela avec l'accent gscon et sans malice car je devais très souvent jouer de la pointe le soir aussi bien avec Monseigneur que ses amis. Enfin il se jugea assez reposé et comme il disait : Hors près du roi, je ne suis rien. J'ai cette fois partagé mon temps entre monter la jument que j'avais acquis sur les conseils du palfrenier de Monseigneur. Jeune et peu escalabreuse, aimant rien que tant les autres chevaux sauf les hongres, qu'elle ne se privait pas de mordre, et les moments plus doux dans la carosse à foutre Monseigneur ou tout ses désirs sexuels et diantre, ils étaient nombreux. Pour mon plaisir il se lavait lui aussi soigneusement et se parfumait.J'avais souvent vu les gens sur les galères avec un mouchoir sur le nez et j'en comprenais maintenant l'usage. J'ai ...
... ainsi été initiè au léchage de fesse et du trou de joie , j'ai découvert la sensibilité des tétons chez certains mais aussi l'agrandissement du dit trou par divers objets et même la main. La première étape a été Roanne sur le fleuve Loire où Monseigneur après la chevauchée dans les monts du Lyonnais a décidé de faire plus court et de prendre la coche d'eau , plus agréable mais dangereuse par les bancs de sable et remous du fleuve. Il faisait couler l'or de ses fontes et nous sommme partis au matin pour nous rendre à Orléans, d'où on remonterait le grand chemin vers Paris. Le fleuve sans être gros était fort alimenté par la rivière Allier. Monseigneur faisait tout les soirs arrêter près d'un village ou nous restaurions dans une auberge et si elle était bien tenue et surtout propre et exempte de ces animaux de lits malséants nous dormions sur place. Même pour un seigneur comme Mr de Joyeuse il fallait p artager le lit, ce qu'il appréciait pour des ébats avec de jeunes et vgoureux gaillards . A Orléans la carosse n'étant pas là nous avons pris des chevaux pour monter à Paris. Dès le village de Meudon l'odeur changeait amenée par le fleuve Seine, moins grand et bien plus puant que la Loire. En trois étapes depuis Orléans nous nous trouvâmes dans son hotel de Paris, pas faché de ne plus sentir l'odeur des rues. Je voulus me laver à la fontaine de la cour mais Monseigneur m'a dit qu'à Paris on ne se lavait pas comme ça mais dans des baquets en bois, sorte de demi tonneaux ovales ...