COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le journal (1/1)
Datte: 02/01/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
... son peignoir c’est un peu ouvert et sa poitrine m’apparaît jusqu’au début de sa vallée.
Je sens que cette vision me fait bander, je dois dire que si j’ai apporté le journal ce matin, c’est parce que je sais que Françoise vient l’aider certains jours et qu’il lui arrive de dormir chez sa belle-mère.
J’espérais qu’elle soit là, dommage, bien sûr, le journal, c’est un alibi, mais j’ai dit la vérité, maman venait de le finir quand je lui ai dit que je l’apportais à Huguette avant d’aller faire mon jogging.
• Madame Huguette, je peux vous demander un service !
• Quand tu étais petit, tu me disais Huguette, oublies madame.
• Huguette, j’ai un service à vous demander, votre vêtement, c’est ouvert et me montre le début de votre poitrine, j’aimerais la voir, vous seriez la première.
• Luc, mon petit, tu es puceau, dommage que je sois trop vieille pour toi !
• Non, Huguette, depuis que je suis en âge de bander, je pense à toi, ça doit être dur de vivre sans homme depuis le décès de ton mari.
• C’est loin d’être facile tous les jours, viens là contre ma poitrine, j’ignore si tu te masturbes, je le fais de temps en temps, quand mon intimité me travaille.
Je dois t’avouer qu’en ce moment, je suis un peu chamboulé, caresse-moi les seins.
J’ai suivi son conseil, elle est debout près de moi, je me précipite dans ses bras, baiser la voisine, copine de ma mère, c’est un bon plan pour se faire dépuceler, le journal, bien sûr, m’a servi de prétexte.
Faute de ...
... grive, on mange des merles, faute des seins de Françoise, je me rattrape sur ceux d’Huguette les prenant dans ma bouche.
Elle a tout ce qu’il faut de la femme mûre, qui est faite pour être cueillie, elle est encore bandante à presque 50 ans, sa poitrine commence un peu à se flétrir, c’est loin d’être disgracieux surtout qu’avant qu’elle ait le temps de réagir, je défais sa ceinture.
Mince, elle est pudique, se balader la chatte à l’air le matin, doit passer au-dessus d’elle, qu’importe, ma main se glisse entre tissus et chaires, sa toison est à moi, elle est du genre à la garder.
C’est le moment où elle cède, descendant lentement le long de mon corps, ses mains au passage descendent mon pantalon de survêtement faisant sortir ma queue, qui pour la première fois se retrouve dans sa bouche.
Ses mains l’ayant accompagnée vers le sol se retrouvent l’une sur ma hampe l’autre sur mes testicules.
Je dois faire un effort surhumain pour garder mon sperme en moi, j’y arrive, il me faut prendre une initiative, j’aurais le temps de me faire pomper dans les temps futurs.
Mon plan réussissant, je compte bien revenir tous les matins dans les jours prochains, même si cela m’oblige à me lever de bonne heure pendant mes vacances avant la fac.
Je veux garder mon avantage, je sais que sa chambre est à l’étage, si je l’entraîne, elle risque de reprendre pied, je descends sa culotte, je lui passe derrière elle, j’écarte ses jambes, elle s’appuie sur sa table.
C’est bon d’entrer ...