Carnets d'aventures Partie 01
Datte: 01/01/2021,
Catégories:
Accouplements Érotiques,
Auteur: byValcour, Source: Literotica
... n'fais la guerre à personne.
-- Avec moi tu vas en découvrir. Montre ta saucisse.
Elle commençait à défaire ma ceinture et à plonger sa main dans mon slip pour tâter ma raideur.
-- Tâte moi donc, t'a payé pour ça. T'es timide comme un préado.
Je dirigeais ma main vers son bas-ventre et sa chatte dont les grosses lèvres pendaient, mais elle a vite interrompu mon exploration.
-- A la douche, mon chou, j'aime pas les odeurs de sueur. Surtout des mâles.
Elle a surveillé que je me savonnais bien partout. Elle m'a emmené dans une pièce dont les murs étaient décorés de photos en noir et blanc de nus musculeux, mâles et femelles plus grands que nature, tout encombrée de matériel de culture physique. Elle s'est allongée sur un mince matelas de mousse recouvert d'un drap blanc, propre et imprimé de caractères chinois rouges et noirs. Elle avait du goût malgré des manières assez brusques. Elle m'a offert à tâter ses gros seins fermes et ronds comme des ballons trop gonflés, ses cuisses, sa chatte.
-- Tu peux y aller, c'est pas de la guimauve.
En empoignant rudement la chair (flasque) de ma cuisse, elle me montrait comment elle attendait que je la prenne. Je lui ai enlevé son string minimal mais élaboré, j'ai tenté de pétrir sa "viande", mais elle s'appliquait à durcir ses muscles pour résister à mes tentatives de massage. J'ai commencé à trifouiller dans sa chatte dont les grandes lèvres pendantes me fascinaient. Elle devait les étirer tous les jours comme en ...
... Afrique on s'étire les oreilles. Ses fesses étaient comme des billes de bois, et tout son corps huilé semblait se dérober à mes caresses exploratoires. Un gros clitoris émerge, décalotté comme un pénis de bébé.
J'ai approché ma langue;
-- Suce, je t'ordonne. Et si c'est pas bien, je ratatine tes couilles.
Ce qu'elle commençait à faire en malaxant durement ma queue raide et mes roubignolles. J'ai attrapé ses lèvres entre mes dents, j'ai introduis ma langue le plus loin possible, elle s'est amusée à contracter son bas-ventre pour me barrer le passage. J'ai mordu sa "viande". Elle a relevé les cuisses pour dégager son œillet. Je l'ai humecté d'un maximum de salive, j'y ai aventuré mes doigts, il était souple, et s'ouvrait comme une motte de beurre.
-- Assez joué, c'est mon tour.
Elle s'est emparée de ma queue qu'elle a vigoureusement branlée, sucée, tout en pétrissant mes couilles. Elle l'a prestement recouverte d'un préservatif qu'elle avait préparé discrètement. J'étais allongé sur le dos, elle s'est enfilée sur moi et m'a chevauché. J'avais l'impression qu'elle me branlait à la main, tant elle serrait et desserrait tour à tour les muscles de son vagin. Je n'ai pas tardé à jouir, elle a continué à me branler, elle voulait me vider jusqu'à la moelle de mes os.
J'étais épuisé. Elle se rhabillait, c'est à dire se paraît à nouveau de son entrelac de rubans. Voyant que je tardais à me relever, elle est revenue à moi :
-- C'est mou tout ça, c'est rien qu'du gras. ...