1. Samuel et Stéviana


    Datte: 29/12/2020, Catégories: hh, couleurs, prost, grossexe, anniversai, amour, volupté, Transexuels Oral hdanus, hsodo, Auteur: Frédichounet, Source: Revebebe

    ... mais que le seul besoin que je ressentais, c’était d’être seul un moment, pour réfléchir.
    
    Et j’avais erré dans ma voiture d’abord, puis à pied dans la grande ville voisine, à la recherche de je-ne-sais-quoi. J’adorais mon père, ainsi que ma mère d’ailleurs, et l’absence de larmes me désarçonnait beaucoup, parce que je me sentais si triste. C’est comme ça que je me suis retrouvé dans la rue de Stéviana. J’avais vu ses "collègues", mais dans une sorte de brouillard. Et j’ai vu cette femme qui était si belle, la peau brune, les lèvres bien ourlées, des yeux un peu tristes. Elle se tenait appuyée contre le mur et fumait une cigarette. Ce n’était pas la femme la plus belle que j’avais vue, mais elle se passait très bien du moindre maquillage. Elle a tourné la tête dans ma direction et m’a regardé d’un air intrigué d’abord, puis amusé.
    
    Comme vous le savez maintenant, j’étais vierge… de toute expérience amoureuse. Mon père m’avait enseigné qu’il fallait se créer des opportunités pour que les choses fonctionnent, dans tous les domaines et, jusque-là, aucune femme ne m’avait donné envie de m’essayer aux choses de l’amour. Le fait que la première qui m’ait donné cette envie soit une prostituée n’avait aucune espèce d’importance.
    
    C’est dans cet état d’esprit que je me suis retrouvé dans sa chambre, en sa compagnie. Elle était dans son territoire et il était logique qu’elle se sente à l’aise. En ce qui me concerne, mon érection quasi instantanée était le résultat de ce qui me ...
    ... trottait dans la tête : il allait se passer quelque chose de sexuel… avec la seule femme qui m’en donnait l’envie !
    
    Mais je n’oubliais pas ce que ma mère m’avait appris, à savoir qu’il fallait respecter les femmes. Ce précepte était si ancré en moi qu’il avait dû jouer dans le déroulement des évènements suivants.
    
    Je ne sais pas pourquoi je l’ai prise dans mes bras. Peut-être parce que j’avais besoin de réconfort… Mais pas seulement pour ça : aussi parce qu’elle s’est mise à danser. Et quand on danse, c’est qu’on est heureux, non ? Et là, l’horreur de ce que j’étais en train de faire m’est apparue : j’avais payé un être humain pour abuser de son corps ! N’allez pas y voir un jugement que je porterais sur les habitués des amours tarifées, mais plutôt un sentiment très personnel, qui découlerait de ce que ma mère m’avait enseigné.
    
    En fait, j’étais sur le point de m’enfuir. Mais je ne le pouvais pas, parce que j’avais profané son visage quelques instants plus tôt. Le fait qu’elle n’ait pas l’air de m’en vouloir n’avait rien à voir. Je vous répète que c’était MA façon de voir. Et elle s’est mise à pleurer. Je sais maintenant qu’elle n’a pas compris ce que je disais à l’époque, mais je lui ai murmuré des mots doux, pour la réconforter.
    
    Puis elle m’a dit un seul mot, sous la forme d’une question, et je n’ai pas compris tout de suite. Et quand j’ai fait "non" de la tête, je l’ai vue se laisser descendre le long de mon corps. Elle a pris mon sexe dans ses mains, puis dans sa ...